Alerte Google :
Un article très intéressant (et désespérant) sur les errances de la Recherche Médicale :
Le site retenu par Google Alertes me semble très partisan, aussi, après avoir vérifié que le médecin de l’interview existe réellement, je poste les différents liens faisant référence à cette info , somme toute, pas très médiatisée….et pour cause !
La journaliste Emilie Yoff travaille pour Slate Magazine USA…
http://www.coordiap.com/press2959-yoffe-emilie-medecine.htm
Les échecs de la médecine dite « scientifique »
Source : Par Emily Yoffe, Site web Slate.frmily Yoffe, Site web Slate.f
Une étude intéressante traduite sur le site slate.fr fait le point sur les promesses non tenues de la médecine dite scientifique. Malgré toutes les annonces prometteuses qui ont émaillé les vingt dernières années à coups d’articles futuristes sensationnels, cette médecine qui s’appuie sur la recherche fondamentale marque aujourd’hui le pas, non certes dans les budgets importants qui lui sont alloués, mais dans ses espoirs de vaincre les maladies résistances. Dans un grand nombre de cas, ses hypothèses et modèles théoriques se sont révélés incorrects.
Cet article introduit son sujet par les conclusions du Dr. William Langston, un spécialiste de la maladie du Parkinson, qui a longtemps cru à la médecine réparatrice, en remplaçant les tissus dégénérés par des tissus sains. On espérait que les manipulations sur les cellules et les gênes pourraient dans un avenir proche éradiquer toutes les maladies génétiques, comme la maladie d’Huntington ou la mucoviscidose, mais aussi le Parkinson, les cancers, le diabète et les problèmes cardiaques.
Lire l’article sur Slate.fr :
http://www.slate.fr/story/26695/medecine-therapie-genique-cancer
Langston William J., M.D.
Spécialiste des troubles du mouvement
Dr J. William Langston est le fondateur, PDG et directeur scientifique de l'Institut de la maladie de Parkinson à Sunnyvale, en Californie. Il est diplômé de l'Université du Missouri School of Medicine et a été membre du corps professoral de l'Université de Stanford et président de neurologie à Santa Clara Valley Medical Center à San Jose, en Californie. Dr Langston acquis une reconnaissance nationale et internationale en 1982 pour la découverte du lien entre une «héroïne de synthèse» et Parkinson. Cette substance, appelée MPTP, est sélectivement toxique pour les cellules nerveuses dans le cerveau même qui meurent dans la maladie de Parkinson. La découverte des effets biologiques de ce composé a conduit à une renaissance de la recherche fondamentale et clinique dans la maladie de Parkinson.