Salut à tous et toutes,
Lu dans le livre "le régime oméga" du Dr Barry Sears.
" ... les chercheurs ont découvert dans l'inflammation son (à la sep) principal déclancheur"
" comme pour ttes les maladies inflammatoires, la principale caractéristique de la sep est la production de mauvais eicosanoïdes"
"cela dit, les doses élevées d'huile de poisson (de qualité pharamaceutique dont débarassé des polluants) représentent sans doute le ttment non médical le plus prometteur. Les acides gras oméga 3 à longue chaine sont des agents anti-inflammatoires capables de traverser la barrière hémato-encéphalique; qui plus est, chez les personnes atteintes de sep, le cerveau présente un très faible taux de dha. L'on sait aussi que les a.gras om. 3 à longue chaine inhibent la production des cytokines proinflammatoires tel l'interféron gamma, c-à-d que leur effet est le même que celui qui étaye l'hypothèse des multiples injections d'interféron bêta"
"...des patients souffrant de sep ont reçu quotidiennement, pendant 2 ans, 3.5g d'ac. g. om. 3à longue chaine.
Ces patients devaient en outre consommer de trois à quatre repas de poisson par semaine, réduire leur consommation de viande rouge (afin de limiter leur ingestion d'acide arachidonique) et manger d'avantage de légumes.
Au terme de la première année, le rapport Ac. Ara./EPA de ces patients était passé de 6 à 1.5 et il est demeuré stable tout au long de l'année suivante.
La première année, la fréquence des crises de sep avait diminué de 95%.Après 2 ans, leur indice d'invalidité avait décru de 25%, ce qui signifie qu'ils avait recouvré une part importante de mobilité..."
" Mais la prise de doses élevées d'ac. gr. om. 3 à lge chaine qui ne s'accompagne pas d'une régulation insulinique ne produit pas les résultats optimaux qui découlent de mes recommandations nutritionneles.
Ainsi que je le recommandais, une sécrétion exagérée d'insuline est susceptible d'activer l'enzyme à l'origine de l'acide ara. ce qui augmente la production d'eicosanoïdes proinflammatoires.
Je crois que les chercheurs norvégiens auraient obtenu des résultats encore meilleurs s'ils avaient administré à leurs patients des doses plus élevées d'huile de piosson de qualité phara. et veillé à la stabilisation de leur niveau d'insuline. J'ai formulé cette conclusion en observant un autre des patients de Dan Ward (centre de River Oaks)."
"...patiente sep...début cinquantaine...invalidité...incapable de se tenir debout...torse était trop faible elle n'arrivait pas à supporter le poids de son corps...urinait à l'aide d'un cathéter...dépression grave . Dan lui administra 35g. d'ac. gr. om. 3 à lge ch. pdt 30 jours. Par la suite, il porta cette dose à 50 g.. Cette posologie très elevées occasionna des diarrhées, si bien que Dan ramena la dose à 40g.et, plus tard, l'ayant réduite encore, la maintint à 25g/jour. Trois semaine après avoir adhéré à mes recommandations nutritionnelles, cette patiente parvenait à contrôler sa vessie, sa force physique était maintenant suffisante pour lui permettre de se rendre du lit aux toilettes. Au troisième mois, elle était guérie de sa dépression et sa mémoire s'étatit améliorée de façon spectaculaire. Surtout elle parvenait à se déplacer seule, à l'aide d'une marchette."
Même si les doses (25g.) sont très élevées et onéreuses ( une cinquantaine de gellules du commerce par jour) la dose de 3.5 g. ( une dizaine de gellules) de la première expérience semble plus "jouable".
Certains ont-il déja essayé ?
Lui préconise, pour le traitement des affections neurologiques 10g. (environ 30 gellules) d'ac. om. 3 à lge chaine . qual. pharma.
De plus il estime qu'il faut surveiller le rapport AA/EPA qui doit être entre 1.5 et 3, mais à ma connaissance cet examen n'est pas dispo. en France.
Par correspondance (USA) il semble onéreux.
Faute de mieux, il conseille de surveiller en plus des prise d'om. 3 le rapport TG/HDL (cf vos prises de sang) qui doit être inférieur à 2 (ça c'est pour la partie insuline son analyse).
Que pensez-vous de tout cela ?
Lu dans le livre "le régime oméga" du Dr Barry Sears.
" ... les chercheurs ont découvert dans l'inflammation son (à la sep) principal déclancheur"
" comme pour ttes les maladies inflammatoires, la principale caractéristique de la sep est la production de mauvais eicosanoïdes"
"cela dit, les doses élevées d'huile de poisson (de qualité pharamaceutique dont débarassé des polluants) représentent sans doute le ttment non médical le plus prometteur. Les acides gras oméga 3 à longue chaine sont des agents anti-inflammatoires capables de traverser la barrière hémato-encéphalique; qui plus est, chez les personnes atteintes de sep, le cerveau présente un très faible taux de dha. L'on sait aussi que les a.gras om. 3 à longue chaine inhibent la production des cytokines proinflammatoires tel l'interféron gamma, c-à-d que leur effet est le même que celui qui étaye l'hypothèse des multiples injections d'interféron bêta"
"...des patients souffrant de sep ont reçu quotidiennement, pendant 2 ans, 3.5g d'ac. g. om. 3à longue chaine.
Ces patients devaient en outre consommer de trois à quatre repas de poisson par semaine, réduire leur consommation de viande rouge (afin de limiter leur ingestion d'acide arachidonique) et manger d'avantage de légumes.
Au terme de la première année, le rapport Ac. Ara./EPA de ces patients était passé de 6 à 1.5 et il est demeuré stable tout au long de l'année suivante.
La première année, la fréquence des crises de sep avait diminué de 95%.Après 2 ans, leur indice d'invalidité avait décru de 25%, ce qui signifie qu'ils avait recouvré une part importante de mobilité..."
" Mais la prise de doses élevées d'ac. gr. om. 3 à lge chaine qui ne s'accompagne pas d'une régulation insulinique ne produit pas les résultats optimaux qui découlent de mes recommandations nutritionneles.
Ainsi que je le recommandais, une sécrétion exagérée d'insuline est susceptible d'activer l'enzyme à l'origine de l'acide ara. ce qui augmente la production d'eicosanoïdes proinflammatoires.
Je crois que les chercheurs norvégiens auraient obtenu des résultats encore meilleurs s'ils avaient administré à leurs patients des doses plus élevées d'huile de piosson de qualité phara. et veillé à la stabilisation de leur niveau d'insuline. J'ai formulé cette conclusion en observant un autre des patients de Dan Ward (centre de River Oaks)."
"...patiente sep...début cinquantaine...invalidité...incapable de se tenir debout...torse était trop faible elle n'arrivait pas à supporter le poids de son corps...urinait à l'aide d'un cathéter...dépression grave . Dan lui administra 35g. d'ac. gr. om. 3 à lge ch. pdt 30 jours. Par la suite, il porta cette dose à 50 g.. Cette posologie très elevées occasionna des diarrhées, si bien que Dan ramena la dose à 40g.et, plus tard, l'ayant réduite encore, la maintint à 25g/jour. Trois semaine après avoir adhéré à mes recommandations nutritionnelles, cette patiente parvenait à contrôler sa vessie, sa force physique était maintenant suffisante pour lui permettre de se rendre du lit aux toilettes. Au troisième mois, elle était guérie de sa dépression et sa mémoire s'étatit améliorée de façon spectaculaire. Surtout elle parvenait à se déplacer seule, à l'aide d'une marchette."
Même si les doses (25g.) sont très élevées et onéreuses ( une cinquantaine de gellules du commerce par jour) la dose de 3.5 g. ( une dizaine de gellules) de la première expérience semble plus "jouable".
Certains ont-il déja essayé ?
Lui préconise, pour le traitement des affections neurologiques 10g. (environ 30 gellules) d'ac. om. 3 à lge chaine . qual. pharma.
De plus il estime qu'il faut surveiller le rapport AA/EPA qui doit être entre 1.5 et 3, mais à ma connaissance cet examen n'est pas dispo. en France.
Par correspondance (USA) il semble onéreux.
Faute de mieux, il conseille de surveiller en plus des prise d'om. 3 le rapport TG/HDL (cf vos prises de sang) qui doit être inférieur à 2 (ça c'est pour la partie insuline son analyse).
Que pensez-vous de tout cela ?