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Le Dr Gernez qui en est à l'origine est un médecin, qui une fois de plus clivera, visionnaire pour les uns, charlatan pour les autres.
Au-delà de cela, qu'en pensent les "scientifiques du forum" ?
A+
"L'hormone de croissance est nécessaire à la réalisation de l'organogénèse de toutes les populations cellulaires constitutives de l'organisme et son tarissement chez l'enfant provoque un nanisme dit "harmonieux" parce que l'ensemble de ces populations cellulaires est concerné. A l'âge adulte, elle devient inutile et sa suppression n'entraîne aucun effet physiologique ou pathologique, qu'il soit immédiat ou retardé.
Son taux plasmatique décroît de la naissance (10-70 ng/ml) à l’âge adulte (0,20-5 ng/ml) et son tarissement à la sénescence passe physiologiquement inaperçu.
L'hormone de croissance étant indispensable à la cinétique de la maladie et inutile à l'âge adulte, la solution consiste à inhiber sa sécrétion pour stopper l'évolutivité de la Sclérose en plaques.
Convaincus par le principe pathogénique et séduits par son corollaire thérapeutique :
- les cliniciens y trouvèrent l'explication de la suspension de la maladie au cours de la grossesse, qui dérive l'hormone de croissance, maternelle et placentaire, vers le fœtus en cytopoïèse active, ainsi que de la brutale poussée évolutive du post-partum quand l'expulsion du fœtus rend la stimuline accumulée disponible.
- les pathologistes rapprochèrent les états d'hypersécrétion de l'hormone (accès fébriles, stress, traumatismes, chirurgie) poussées évolutives auxquelles ils sont corrélés.
- les autorités ayant tutelle de la santé publique (Présidence de la république, 27-04-81, Ministère de la santé, 24-04-81, Sénat : Journal Officiel 21-05-81) firent procéder au contrôle de la corrélation négative entre la sclérose en plaques et le tarissement de l'hormone.
- les thérapeutes y virent avec soulagement la fin tant attendue du "défi de la science" au moyen d'une procédure simple, ambulatoire, d'innocuité reconnue, consistant en un flash d'irradiation hypophysaire dans la dose est définie : 13,5 mCi ou son isodose.
Réalisable au moyen d'un appareillage conventionnel, ou élaboré (Gamma Unit) ou par inclusion (Stéréo GIHF), cette brève irradiation inhibe sélectivement l'hormone de croissance sans qu'aucune autre stimuline ne soit concernée; l'effet est acquis après une latence de 6 à 18 mois.
- les dispositions furent prises (Salpétrière) pour que les thérapeutes interviennent en privilégiant les formes les plus évolutives.
C'est alors qu'un diktat renvoya les uns à leur maladie, les autres à leur carrière et laissa la Sclérose en plaques au milieu du gué."
Le Dr Gernez qui en est à l'origine est un médecin, qui une fois de plus clivera, visionnaire pour les uns, charlatan pour les autres.
Au-delà de cela, qu'en pensent les "scientifiques du forum" ?
A+
"L'hormone de croissance est nécessaire à la réalisation de l'organogénèse de toutes les populations cellulaires constitutives de l'organisme et son tarissement chez l'enfant provoque un nanisme dit "harmonieux" parce que l'ensemble de ces populations cellulaires est concerné. A l'âge adulte, elle devient inutile et sa suppression n'entraîne aucun effet physiologique ou pathologique, qu'il soit immédiat ou retardé.
Son taux plasmatique décroît de la naissance (10-70 ng/ml) à l’âge adulte (0,20-5 ng/ml) et son tarissement à la sénescence passe physiologiquement inaperçu.
L'hormone de croissance étant indispensable à la cinétique de la maladie et inutile à l'âge adulte, la solution consiste à inhiber sa sécrétion pour stopper l'évolutivité de la Sclérose en plaques.
Convaincus par le principe pathogénique et séduits par son corollaire thérapeutique :
- les cliniciens y trouvèrent l'explication de la suspension de la maladie au cours de la grossesse, qui dérive l'hormone de croissance, maternelle et placentaire, vers le fœtus en cytopoïèse active, ainsi que de la brutale poussée évolutive du post-partum quand l'expulsion du fœtus rend la stimuline accumulée disponible.
- les pathologistes rapprochèrent les états d'hypersécrétion de l'hormone (accès fébriles, stress, traumatismes, chirurgie) poussées évolutives auxquelles ils sont corrélés.
- les autorités ayant tutelle de la santé publique (Présidence de la république, 27-04-81, Ministère de la santé, 24-04-81, Sénat : Journal Officiel 21-05-81) firent procéder au contrôle de la corrélation négative entre la sclérose en plaques et le tarissement de l'hormone.
- les thérapeutes y virent avec soulagement la fin tant attendue du "défi de la science" au moyen d'une procédure simple, ambulatoire, d'innocuité reconnue, consistant en un flash d'irradiation hypophysaire dans la dose est définie : 13,5 mCi ou son isodose.
Réalisable au moyen d'un appareillage conventionnel, ou élaboré (Gamma Unit) ou par inclusion (Stéréo GIHF), cette brève irradiation inhibe sélectivement l'hormone de croissance sans qu'aucune autre stimuline ne soit concernée; l'effet est acquis après une latence de 6 à 18 mois.
- les dispositions furent prises (Salpétrière) pour que les thérapeutes interviennent en privilégiant les formes les plus évolutives.
C'est alors qu'un diktat renvoya les uns à leur maladie, les autres à leur carrière et laissa la Sclérose en plaques au milieu du gué."