Contrairement aux «rapports» récents, l’hypothèse de l'IVCC n'est pas «morte». Elle doit être affinée et repensée, mais elle est bien vivante.
La révolution perspicace du dct Zamboni pose deux problèmes distincts :
Premièrement, le reflux du sang veineux dans le système nerveux central doit être arrêté (au mieux) ou minimisé.
Deuxièmement, le tissu lésé doit être guéri.
Des observations récentes sur la dynamique des fluides crâniens, l’éventualité que l’accumulation du liquide céphalo-rachidien pourrait «faire pression» sur la circulation sanguine veineuse conduisant à un reflux sanguin, implique qu'une attention devrait être accordée à tous les aspects de la physiologie du cerveau.
En effet, avant l'examen pour l’angioplastie, je crois qu'il faut consulter des spécialistes en ajustement squelettique (chiropraticiens, ostéopathes, dentistes) dont les manipulations pourraient libérer la circulation sang / fluide de la tête et de la moelle épinière.
Par exemple, sur Thisisms.com, Dania rapporte des améliorations impressionnantes après un traitement chiropratique de décompression vertébrale avec la table Cox 7.
L’ Angioplastie devient donc un moyen parmi d’autres, de stopper le reflux du sang.
Une fois ce problème résolu, on peut envisager la réparation des dommages faits au système nerveux.
"Des scientifiques trouvent un « remède » à la SEP en transformant des cellules de la peau en cellules neurales » était le titre d'un article paru dans Nature Biotechnology écrit par Christine Hsu décrivant la recherche effectuée à la Case Western Research School of Medicine.
La reconstitution de la gaine de myéline endommagée par des poussées de SEP a longtemps été le but des scientifiques.
Les thérapies par Cellules souches, en cours, espèrent faire de même en extrayant des cellules de la moelle osseuse d'un patient atteint de SEP, les laissant se multiplier en culture, puis en les réinjectant au patient. (Je ne sais pas dans quelle mesure cette procédure est possible, mais je ne suis pas décidée à essayer.)
Cependant, une fois encore, la réparation de la gaine de myéline ne représente seulement que la moitié du combat (contre la SEP). Il faut arrêter (ou minimiser) le reflux du sang dans le système nerveux central. Sinon, la myéline réparée sera (à nouveau) l’objet d’attaques constantes et pourrait s'avérer de moins en moins efficace.
Prévenir le reflux du sang est donc la clé de tout «remède» pour la SEP.
Et c’est là qu’intervient le traitement de l'IVCC.
Ah, mais une autre piste est étudiée en France, en Angleterre et en Suisse, laquelle ne peut être négligée : Le rôle des rétrovirus associés à la SEP, tels que le virus Epstein Barr (EBV) (mononucléose, quand j'avais à 9 ans, par exemple)
Ma compréhension approximative de ces études est que les restes du virus d'Epstein Barr (entre autres) se sont noyés dans les gènes humains au cours des millions d'années d'évolution. Si un individu avec cet héritage génétique tombe malade avec une maladie dérivée du virus Epstein-Barr, la réaction du système immunitaire face au virus finit par attaquer l'ADN hérité donc le «soi». Contrairement aux traitements actuels pour la SEP, conçus pour moduler ou supprimer le système immunitaire, le traitement proposé est conçu pour arrêter le rétrovirus associé à la SEP, et donc la cascade auto-immune démyélinisante qui survient lorsque le virus Epstein-Barr, latent, se réactive périodiquement.
Comme je l'avais dit, la grippe m’a récemment affaiblie. Et si le virus de la mononucléose, latent, s’était manifesté? ... provoquant la réaction de mon système immunutaire contre un rétrovirus endogène humain hérité (HERV), ancré dans mes gènes?? Une idée intéressante à suivre. (Voir Thisisms.com, fil de médicaments émergents, MSRV la phase de rétrovirus 2, Fred 1208, 20 décembre 2012 et mises à jour au 14 mai 2013) (Voir le blog de Wheelchair Kamikaze du 5 mai 2013 "Anti-VIH médicaments pour stopper la SEP? ")
Je soulève cette question parce que récemment, j’ai pris la précaution de prendre, tout bêtement, pour prévenir (la grippe), un remède homéopathique, antibiotique (Oscillicoccinum) qui était censé fonctionner. Il s'agissait d'une grippe particulièrement virulente qui a conduit à des complications pulmonaires, qui m’ont mise à plat, ainsi que mon mari.
J'ai alors pris le remède Pulsatilla 15 CH qui a fonctionné (heureusement), mais depuis, je me traîne, incapable de m’en remettre complètement.
Cela m'est déjà arrivé où je me sens comme si quelque chose me « dévorait».
Est-ce un virus "incrusté" qui se manifeste quand un autre virus m’affaiblit? Ma langue est «chargée», ce qui est un signe de la prolifération des levures (Candida). (Qui seule peut rendre malade) , j'ai recommencé à prendre Pulsatilla (maintenant 30CH) et cela semble fonctionner. Probablement, je dois prendre rendez-vous avec un "généraliste" (classique) homéopathe pour rendre ce virus latent à sa clandestinité.
Mais admettons qu’il s’agisse d’un virus de type Epstein Barr. Est-ce que mon système nerveux aurait été «attaqué» sans l’intervention du mécanisme de reflux sanguin ?
Cela implique de régler deux grands problèmes. Je sais que l'homéopathie est controversée, et si l'on prend des médicaments toxiques ça ne marchera pas. Admettons que le traitement GNbAC1 traite efficacement le problème des rétrovirus pour la SEP (présents chez 75% des patients atteints de SEP?). Le problème de reflux sanguin restera probablement, surtout pour ceux qui ont une SEP liée (à des traumas) "squelettiques". Je me demande comment cette théorie pourrait s'appliquer aux patients SEP (à cause) de Chlamydia P. qui trouvent un traitement antibiotique efficace?
Pour l'instant je dois utiliser les outils dont je dispose, pour prendre soin de moi. Et en fait, renforcer le système immunitaire devient d'autant plus essentiel dans la prévention de la réactivation d'un virus latent, lequel va déclencher, à son tour, la réactivation du rétrovirus endogène humain. Donc, je dois traiter le reflux sanguin quotidiennement. Et ne pas être malade.
MS Cure Enigmas.net