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3 participants
Prévenir plutot que guérir
PatrickS- Messages : 566
Date d'inscription : 26/01/2014
Localisation : Sarthe
- Message n°2
Re: Prévenir plutot que guérir
Bonjour,
Merci pour cet article.
Une phrase me fait tout de même tiquer:
Selon moi, les suppléments, une fois sélectionnés par des essais cliniques et devenus des médicaments, devraient dépendre d’une prescription médicale.
Donc les suppléments que je prends actuellement (vitamine C, magnésium, huile d'onagre...) il faudra que j'aille voir un médecin pour pouvoir m'en procurer?
Patrick
Merci pour cet article.
Une phrase me fait tout de même tiquer:
Selon moi, les suppléments, une fois sélectionnés par des essais cliniques et devenus des médicaments, devraient dépendre d’une prescription médicale.
Donc les suppléments que je prends actuellement (vitamine C, magnésium, huile d'onagre...) il faudra que j'aille voir un médecin pour pouvoir m'en procurer?
Patrick
Un jours à la fois
Mart67- Messages : 158
Date d'inscription : 12/06/2013
- Message n°3
Re: Prévenir plutot que guérir
Bonjour Patrick,
Je ne sais pas si on doit s'inquiéter de cette phrase qui n'est qu'un avis personnel,comme il le dit.
Ce qui m'a interpellé c'est qu'il semble que le chemin sera bien long jusqu'à une modification des habitudes.
A la question: La communauté médicale est-elle prête à ce grand changement ?
réponse:
"Non. Les médecins restent habitués à la logique « une cause - une maladie - un traitement ». Or les maladies chroniques sont multifactorielles. Il n’existe pas une mais des causes. Pour prévenir l’apparition d’une maladie, les consultations médicales doivent laisser le temps suffisant à un dialogue approfondi."
De plus les compléments n'étant pas la cible "pour l'instant" car:
"Leurs composants, issus du vivant, ne peuvent pas être brevetés. Ils ne sont donc ni étudiés ni commercialisés par l’industrie pharmaceutique."
Ce qui veut dire qu' il faudrait d'abord former les médecins, "modifier" la logique du profit pour les différents intervenants, donc un changement radical.?
On a encore du temps devant nous avant de voir un généraliste nous prescrire un complément.
Étant donné que les changements à ce niveau sont souvent long, j'ai l’impression que le Professeur Montagnier pense surtout aux générations futurs.
Bonne journée
Je ne sais pas si on doit s'inquiéter de cette phrase qui n'est qu'un avis personnel,comme il le dit.
Ce qui m'a interpellé c'est qu'il semble que le chemin sera bien long jusqu'à une modification des habitudes.
A la question: La communauté médicale est-elle prête à ce grand changement ?
réponse:
"Non. Les médecins restent habitués à la logique « une cause - une maladie - un traitement ». Or les maladies chroniques sont multifactorielles. Il n’existe pas une mais des causes. Pour prévenir l’apparition d’une maladie, les consultations médicales doivent laisser le temps suffisant à un dialogue approfondi."
De plus les compléments n'étant pas la cible "pour l'instant" car:
"Leurs composants, issus du vivant, ne peuvent pas être brevetés. Ils ne sont donc ni étudiés ni commercialisés par l’industrie pharmaceutique."
Ce qui veut dire qu' il faudrait d'abord former les médecins, "modifier" la logique du profit pour les différents intervenants, donc un changement radical.?
On a encore du temps devant nous avant de voir un généraliste nous prescrire un complément.
Étant donné que les changements à ce niveau sont souvent long, j'ai l’impression que le Professeur Montagnier pense surtout aux générations futurs.
Bonne journée
Jacques- Messages : 30
Date d'inscription : 04/01/2014
Age : 70
Localisation : L'Ancienne-Lorette, Québec, Canada
- Message n°4
Re: Prévenir plutot que guérir
Très intéressant et aussi très optimiste pour les prochaines années. J'ai l'impression d'être en 1980 où l'on prédisait qu'en 2000 on serait sur la lune, on conduirait des voitures volantes et surtout les loisirs remplaceraient le travail.
Cela fait du bien de lire cet article. C'est comme respirer une bouffée d'air frais. La prévention est préférable aux traitements.
Cela fait du bien de lire cet article. C'est comme respirer une bouffée d'air frais. La prévention est préférable aux traitements.