Bonjour,
On s'en doutait sauf que les autorités sanitaires font une distinction et n'ont pas forcément autorisé les mêmes traitements de fonds pour ces deux "phénotypes" de SEP (ex Siponimod autorisé pour la SPMS active et pas pour la SPMS non active suivant les pays).
On s'en doutait, selon cet article c'est blanc bonnet et bonnet blanc, pas de différence dans l'aggravation du handicap :
13.9.24:
" Les patients atteints de sclérose en plaques progressive secondaire active et non active présentent une progression similaire du handicap : résultats d'une étude du registre italien de la sclérose en plaques (ASPERA)
(...)"
Clara Grazia Chisari et al. J Neurol. 2024.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/39190108/
A force d'obtenir des indices de tous côtés on fera peut-être par développer plusieurs traitements de fonds pour cibler la véritable SEP, celle qui nous handicape lentement et sûrement...
On peut toujours l'imaginer...
Et que les autorités sanitaires se réveillent (on est en 2024, et plus en 1990) et changent leur conception de la maladie qui est en fait une seule et même maladie biologique et non pas 2, 3 ou 4.
On s'en doutait sauf que les autorités sanitaires font une distinction et n'ont pas forcément autorisé les mêmes traitements de fonds pour ces deux "phénotypes" de SEP (ex Siponimod autorisé pour la SPMS active et pas pour la SPMS non active suivant les pays).
On s'en doutait, selon cet article c'est blanc bonnet et bonnet blanc, pas de différence dans l'aggravation du handicap :
13.9.24:
" Les patients atteints de sclérose en plaques progressive secondaire active et non active présentent une progression similaire du handicap : résultats d'une étude du registre italien de la sclérose en plaques (ASPERA)
(...)"
Clara Grazia Chisari et al. J Neurol. 2024.
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/39190108/
A force d'obtenir des indices de tous côtés on fera peut-être par développer plusieurs traitements de fonds pour cibler la véritable SEP, celle qui nous handicape lentement et sûrement...
On peut toujours l'imaginer...
Et que les autorités sanitaires se réveillent (on est en 2024, et plus en 1990) et changent leur conception de la maladie qui est en fait une seule et même maladie biologique et non pas 2, 3 ou 4.