Mes objectifs : trouver dans ma région une structure apte à diagnostiquer une CCSVI, à assurer le suivi d'une angioplastie faite ailleurs, et pourquoi pas prête à se lancer dans le traitement "libérateur"
Donc, Je sors d'un RV avec un angiologue/radiologue spécialiste veineux et je vous raconte un peu cette expérience négative dont il faut, à mon avis tirer des leçons.
J'avais apporté avec moi tous les documents de Sclafani, Haacke, Zamboni, etc ....
Il a quand même pris le temps de lire l'article de Sclafani en entier (merci à MPascale pour la super traduction).
D'abord, malgré les publications du Dr Haacke, entre autres, il a décrété que l'IRM n'était pas adapté pour l'exploration du système veineux, donc il m'a fait un angio-scanner. J'avais eu, il y a un mois un doppler qui montrait une veine jugulaire bien rétrécie, mais pas de reflux sur les jugulaires. Le scanner confirme une asymétrie importante entre la droite et la gauche, que le flux utilise des dérivations à la jugulaire, etc ... Bref, aucun doute sur une "anormalité"
Mais .... ce monsieur a décrété, du haut de ces 25 ans d'expèrience et des milliers d'explorations veineuses,
- que selon lui, 1/3 de la population a des asymétries veineuses
- qu'il ne veut absolument pas faire de diagnostic d'une IVCC
- que les italiens et encore plus les américains se lancent toujours sur des projets fumeux et sans suite
- qu'on trouve de tout sur internet
- qu'une angioplastie avec ballonet ne servirait à rien parce que la veine est souple et reprendra tôt ou tard sa sténose, sur le stent est durable
- qu'une angioplastie représente toujours un risque, car les veines sont beaucoup fragiles que ls artères, et toute façon, dans la clinique où il est, on n'en fait plus.
- qu'il n'était pas prêt à se lancer dans ce qu'il appelle une aventure, car il est assez occupé avec ce qu'il fait actuellement
- qu'il va repasser le dossier à un confrère plus jeune (en fait, celui que j'avais eu au tél et qui m'avait paru très positif)
Leçons à en tirer :
- s'assurer que notre interlocuteur est réellement intéressé pour aller de l'avant
- se faire une idée de son âge, à mon avis, quelqu'un en fin de carrière ne fera rien
- ne pas trop insister sur les infos trouvées sur internet, mais plutôt se baser sur les publications officielles
-Attention à l'esprit "frenchouillard" de certains
- la notion de risque en France est très forte, et bloque beaucoup de choses
Voilà, voilà ....
Maintenant, je vais m'adresser à la clinique "concurrente" fort de cette expérience.
Donc, Je sors d'un RV avec un angiologue/radiologue spécialiste veineux et je vous raconte un peu cette expérience négative dont il faut, à mon avis tirer des leçons.
J'avais apporté avec moi tous les documents de Sclafani, Haacke, Zamboni, etc ....
Il a quand même pris le temps de lire l'article de Sclafani en entier (merci à MPascale pour la super traduction).
D'abord, malgré les publications du Dr Haacke, entre autres, il a décrété que l'IRM n'était pas adapté pour l'exploration du système veineux, donc il m'a fait un angio-scanner. J'avais eu, il y a un mois un doppler qui montrait une veine jugulaire bien rétrécie, mais pas de reflux sur les jugulaires. Le scanner confirme une asymétrie importante entre la droite et la gauche, que le flux utilise des dérivations à la jugulaire, etc ... Bref, aucun doute sur une "anormalité"
Mais .... ce monsieur a décrété, du haut de ces 25 ans d'expèrience et des milliers d'explorations veineuses,
- que selon lui, 1/3 de la population a des asymétries veineuses
- qu'il ne veut absolument pas faire de diagnostic d'une IVCC
- que les italiens et encore plus les américains se lancent toujours sur des projets fumeux et sans suite
- qu'on trouve de tout sur internet
- qu'une angioplastie avec ballonet ne servirait à rien parce que la veine est souple et reprendra tôt ou tard sa sténose, sur le stent est durable
- qu'une angioplastie représente toujours un risque, car les veines sont beaucoup fragiles que ls artères, et toute façon, dans la clinique où il est, on n'en fait plus.
- qu'il n'était pas prêt à se lancer dans ce qu'il appelle une aventure, car il est assez occupé avec ce qu'il fait actuellement
- qu'il va repasser le dossier à un confrère plus jeune (en fait, celui que j'avais eu au tél et qui m'avait paru très positif)
Leçons à en tirer :
- s'assurer que notre interlocuteur est réellement intéressé pour aller de l'avant
- se faire une idée de son âge, à mon avis, quelqu'un en fin de carrière ne fera rien
- ne pas trop insister sur les infos trouvées sur internet, mais plutôt se baser sur les publications officielles
-Attention à l'esprit "frenchouillard" de certains
- la notion de risque en France est très forte, et bloque beaucoup de choses
Voilà, voilà ....
Maintenant, je vais m'adresser à la clinique "concurrente" fort de cette expérience.