Carte des sites de liaison à l’ADN du récepteur de la vitamine D: association avec l’apparition et l’évolution de certaines affections
Carte des sites de liaison à l’ADN du récepteur de la vitamine D établie pour l’ensemble du génome par immunoprécipitation de la chromatine et séquençage à haut débit (ChIP-seq) : association avec l’apparition et l’évolution de certaines affections
Communication médicale
Le 23 août 2010
Résumé
Des travaux de recherche publiés récemment ont fait ressortir de façon spectaculaire jusqu’à quel point le déficit en vitamine D peut accroître la prédisposition à un large éventail de maladies. Les auteurs de ces travaux ont cartographié les sites d’interaction entre la vitamine D et l’ADN et identifié ainsi plus de 200 gènes sur lesquels elle agirait directement. Sreeram V. Ramagopalan, Andreas Heger, Antonio J. Berlanga, Narelle J. Maugeri, Matthew R. Lincoln,1 Amy Burrell, Lahiru Handunnetthi, Adam E. Handel, Giulio Disanto, Sarah-Michelle Orton, Corey T. Watson, Julia M. Morahan, Gavin Giovannoni, Chris P. Ponting, George C. Ebers, et Julian C. Knight. Genome Research le 23 août.
Détails
On estime à un milliard le nombre de personnes qui ont un déficit en vitamine D dans le monde, déficit qui serait surtout attribuable à une exposition insuffisante aux rayons du soleil, et dans une moindre mesure, à une alimentation inadéquate. On savait déjà que le déficit en vitamine D est un facteur de risque de rachitisme, et on dispose maintenant d’un corpus croissant de données probantes qui indiquent qu’il accroît également la prédisposition à des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques (SP), la polyarthrite rhumatoïde et le diabète de type 1, à certains cancers et même à la démence.
Dans le cadre d’une étude subventionnée par le Conseil de recherches médicales, la Société de la SP des États-Unis, le Wellcome Trust, la Société canadienne de la SP et la Fondation pour la recherche scientifique sur la S%20...
http://le-truc-en-plus.over-blog.com/
Carte des sites de liaison à l’ADN du récepteur de la vitamine D établie pour l’ensemble du génome par immunoprécipitation de la chromatine et séquençage à haut débit (ChIP-seq) : association avec l’apparition et l’évolution de certaines affections
Communication médicale
Le 23 août 2010
Résumé
Des travaux de recherche publiés récemment ont fait ressortir de façon spectaculaire jusqu’à quel point le déficit en vitamine D peut accroître la prédisposition à un large éventail de maladies. Les auteurs de ces travaux ont cartographié les sites d’interaction entre la vitamine D et l’ADN et identifié ainsi plus de 200 gènes sur lesquels elle agirait directement. Sreeram V. Ramagopalan, Andreas Heger, Antonio J. Berlanga, Narelle J. Maugeri, Matthew R. Lincoln,1 Amy Burrell, Lahiru Handunnetthi, Adam E. Handel, Giulio Disanto, Sarah-Michelle Orton, Corey T. Watson, Julia M. Morahan, Gavin Giovannoni, Chris P. Ponting, George C. Ebers, et Julian C. Knight. Genome Research le 23 août.
Détails
On estime à un milliard le nombre de personnes qui ont un déficit en vitamine D dans le monde, déficit qui serait surtout attribuable à une exposition insuffisante aux rayons du soleil, et dans une moindre mesure, à une alimentation inadéquate. On savait déjà que le déficit en vitamine D est un facteur de risque de rachitisme, et on dispose maintenant d’un corpus croissant de données probantes qui indiquent qu’il accroît également la prédisposition à des maladies auto-immunes comme la sclérose en plaques (SP), la polyarthrite rhumatoïde et le diabète de type 1, à certains cancers et même à la démence.
Dans le cadre d’une étude subventionnée par le Conseil de recherches médicales, la Société de la SP des États-Unis, le Wellcome Trust, la Société canadienne de la SP et la Fondation pour la recherche scientifique sur la S%20...
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