Bonsoir,
Après en avoir juste discuté avec Hervé Perron, qui a découvert l'action du rétrovirus, quelques précisions, qui m'ont fait penser à cette étude australienne qui doit se trouver dans la rubrique CCSVI.
Cette équipe avait démontré que l'inflammation observée semblait être antérieure à la présence des lymphocytes dans le cerveau, et par conséquent que quelque chose devait la provoquer avant la réaction auto-immune.
Hervé Perron aurait découvert la même chose, à savoir que cette inflammation serait due à la protéine générée par ce rétrovirus endogène, activé sous certaines conditions.
Les lymphocytes ne reconnaîtraient pas la protéine qui agit comme une véritable toxine, et décuple la réponse immunitaire erronée.
Une sorte de baignoire qui déborde avec un robinet ouvert en grand, et cet anticorps qui va être testé aurait la capacité de fermer l'eau.
Ce qui ne signifie pas que l'eau déversée puisse facilement être épongée, et qu'elle n'ait pas eu le temps de faire des dégâts sur le parquet du salon.
Ce qui impliquerait à terme peut-être une solution globale basée sur une bi-thérapie ou une tri-thérapie.
Les résultats observés sur la souris seraient en tous les cas spectaculaires avec l'anticorps, attendons de voir si c'est confirmé sur l'homme.
Les essais 2 b devraient se tenir dès début d'année prochaine, avec 2 trois centres impliqués en France.
Si cela fonctionne, ceux qui ont participé aux essais devraient se voir proposer des traitements par tranche de 6 mois renouvelables.
Nous proposerons dans notre nouvelle brochures les interventions/explications sur le sujet de François Rieger et Hervé Perron.
Bonne soirée
Fred
Après en avoir juste discuté avec Hervé Perron, qui a découvert l'action du rétrovirus, quelques précisions, qui m'ont fait penser à cette étude australienne qui doit se trouver dans la rubrique CCSVI.
Cette équipe avait démontré que l'inflammation observée semblait être antérieure à la présence des lymphocytes dans le cerveau, et par conséquent que quelque chose devait la provoquer avant la réaction auto-immune.
Hervé Perron aurait découvert la même chose, à savoir que cette inflammation serait due à la protéine générée par ce rétrovirus endogène, activé sous certaines conditions.
Les lymphocytes ne reconnaîtraient pas la protéine qui agit comme une véritable toxine, et décuple la réponse immunitaire erronée.
Une sorte de baignoire qui déborde avec un robinet ouvert en grand, et cet anticorps qui va être testé aurait la capacité de fermer l'eau.
Ce qui ne signifie pas que l'eau déversée puisse facilement être épongée, et qu'elle n'ait pas eu le temps de faire des dégâts sur le parquet du salon.
Ce qui impliquerait à terme peut-être une solution globale basée sur une bi-thérapie ou une tri-thérapie.
Les résultats observés sur la souris seraient en tous les cas spectaculaires avec l'anticorps, attendons de voir si c'est confirmé sur l'homme.
Les essais 2 b devraient se tenir dès début d'année prochaine, avec 2 trois centres impliqués en France.
Si cela fonctionne, ceux qui ont participé aux essais devraient se voir proposer des traitements par tranche de 6 mois renouvelables.
Nous proposerons dans notre nouvelle brochures les interventions/explications sur le sujet de François Rieger et Hervé Perron.
Bonne soirée
Fred