MON JOURNAL IVCC: ARTICLE-84 CHLAMYDIA P ET MAINTENANT ARSENIC
par Sylvie Tuslanes, jeudi 29 novembre 2012, 19:25 ·
Mon dernier article parlait MITOCHONDRIE et je ne voulais pas trop entrer dans les détails par crainte que cela devienne rébarbatif et trop complexe. Il est clair que mes cours sur le sujet datent d'avant la maladie, qui elle même me grignote depuis une vingtaine d'années. C'est par curiosité grandissante que je me suis replongée dans les études et par acquis de conscience que j'ai remis le tout sur le tapis car il me semble que c'est un point essentiel à ne pas négliger, un semblant de réponse.
Bon j’entends déjà certains me dire qu'avec des prédispositions scientifiques, c'est facile pour moi, mais je vous assure que je n'en ai aucune en informatique, langues, littérature et autres domaines que j'utilise pourtant ici, il m'a fallu travailler voir galérer parfois. C'est surtout par volonté de comprendre et d'éviter que d'autres vivent de telles années de souffrances si la réponse se trouve sous notre nez. Je suis certaine du facteur vasculaire mais demeurent de nombreuses questions auxquelles il est urgent de répondre, il y a de nouvelles victimes chaque jour, et nous sommes tous concernés, malade ou non.
Je comptais donc en rester là sur nos mitochondries quand j'ai vu, souligné sur différents sites concernés, ce lien:
http://www.medsenic.com/fr/
notifiant des essais cliniques sur le Lupus, autre grave maladie auto-immune. Si les tests s'avèrent concluants, ils devraient ensuite être menés sur la SEP.
Hors il s'agit d'un traitement concernant une molécule connue surtout pour son passé de poison mais aussi thérapeutique, l'ARSENIC ou plus précisément le TRIOXYDE D’ARSENIC.
J'ai donc publier à mon tour mon avis sur la question, ci-après:
"Je me souviens avoir déjà lu sur le sujet. Pas grand chose de concluant à l'époque mais des espoirs. Ce qui m'avait interpelée c'était la molécule étudiée et sa réputation de poison même si je savais également que notre très réputé Dr Hippocrate l'utilisait déjà au Ve siècle avant JC pour soigner les ulcères cutanés (Lupus?). Depuis la pharmacopée grecque et chinoise s'en sert pour traiter la syphilis, le cancer, la tuberculose ou le paludisme d'ailleurs. Hors à haute dose il peut déclencher des symptômes similaires. On procèderai ici à un traitement homéopathique en quelque sorte, pourquoi pas?.
Ce qui me gène encore ici c'est que l'on s'attaque au système de défense mis en place par notre corps pour se débarrasser dont on ne sait trop quoi. C'est bien de fermer un robinet quand la baignoire déborde, pour reprendre l'expression de Fred (de ForSeps ou Task pour certains), mais cela ne règle pas les problèmes de plomberie sous-jacents, à savoir pourquoi ce robinet est resté ouvert et pourquoi il s'est ouvert ainsi. Le parquet à coté, ce ne sera plus un problème pour le remplacer. Mais faire des travaux de reconstruction sans en avoir déterminer l'origine, c'est risquer d'investir gros pour revenir au même point. Même si, on est d'accord, il faut tout de même paré à l'urgence et éviter les débordements délétères.
Je me trompe peut être mais il me semble que l'on prend le problème à l'envers. Au lieu de chercher pourquoi notre corps à de la fièvre, par exemple, car il veut détruire un organisme étranger, on supprime cette fièvre bien entendu désagréable mais certainement plus salvatrice à la longue. Il ne s'agit pas de laisser cramer la maison pour éviter l'inondation non plus, mais de se demander pourquoi pour que cela n'arrive plus par la suite. N'envoyons pas un bataillon de pompiers pour éteindre un feu déclenché pour détruire un danger plus grand que l'incendie elle même, travaillons ensemble, les pompiers plutôt en accompagnateurs pour maitriser l'extension de l'incendie, OK, l'éteindre sans en comprendre le but, plus discutable et surtout bien plus risqué, non?.
Prévenir plutôt que guérir, si toutefois on sait guérir, et j'en doute, tant que l'on ne connaitra pas la cause."
http://www2.cnrs.fr/journal/3125.htm
Regardons de plus près cet ARSENIC:
Le trioxyde d'arsenic, anhydride arsénieux, ou encore « arsenic blanc », improprement appelé arsenic, de formule As2O3, est un poison violent. Il est néanmoins utilisé (pour sa toxicité) en injection à très faibles doses comme médicament anticancéreux pour une forme de leucémie quand elle ne répond pas aux autres produits utilisés pour la chimiothérapie, avec des effets secondaires incluant l’arythmie cardiaque, voire l’arrêt cardiaque entraînant la mort.
L'arsenic sous forme pure, méthylée ou de composé minéral est dangereux même à faible dose, surtout en cas d’exposition répétée. Dans le cas d’une intoxication aiguë, les symptômes sont immédiats, avec comme signes caractéristiques des vomissements, des douleurs œsophagiennes et abdominales et des diarrhées sanguinolentes qui ressemblent au choléra, pouvant entraîner collapsus et mort.
L’arsénicisme, exposition chronique à l'arsenic à de petites doses (dans une eau de boisson polluée par exemple) se traduit par des symptômes comme la mélanodermie, l'hyperkératose des mains et des pieds, l'alopécie et une "polynévrite douloureuse", la striure des ongles.
Il est un facteur de risque de :
-de cancer du poumon, inscrit à ce titre dans les tableaux de maladies professionnelles
-de cancer de la peau (en cas d'exposition prolongée)
-e cancer de la vessie
-de cancer du rein
-d'athérosclérose (notamment de la carotide), ou responsable d'autres maladies cardio-vasculaires.
-probablement de maladies respiratoires.
Les deux derniers étant à retenir ici.
L’arsenic est dit organique quand il est chimiquement lié au carbone ou à l'hydrogène, inorganique quand il est lié à l’oxygène, au chlore ou au soufre. Exemple de l'adage de Paracelse sur les poisons, l’arsenic organique est aussi un ultra oligo-élément ESSENTIEL pour l’être humain, le poulet, la chèvre, le porc et quelques autres espèces. Les besoins pour l’homme ont été évalués entre 10 et 20 µg par jour, ils sont largement couverts par l’alimentation.
Biométhylation : on a montré en microcosmes (désigne un abrégé, une image réduite du monde ou de la société, ou un petit groupe), mésocosmes (un lieu confiné et contrôlé ou semi-contrôlé où un expérimentateur peut faire varier tout ou partie des paramètres du milieu) et en laboratoire que dans le sol, l'eau, les sédiments ou le tube digestif, les MICROBES peuvent méthyler ou déméthyler l'arsenic, et transformer des espèces inorganiques de l'arsenic en formes organiques, et inversement, sans doute un médicament en poison aussi.
Et donc en 2007, France et EU, par analogie avec le traitement d'une forme de la leucémie aiguë promyélocytaire, où il induit la dégradation d'une oncoprotéine spécifique, le trioxyde d'arsenic As2O3 a été utilisé avec succès sur un modèle animal de lupus érythémateux. Des chercheurs pensent pouvoir étendre son application à d'autres maladies auto-immunes dont la SEP qui nous intéresse ici.
CE QUI EST CAPITAL A SAVOIR SELON MOI, C'EST QUE L'ARSENIC EST CHIMIQUEMENT TRÈS SIMILAIRE AU PHOSPHORE QUI LE PRÉCÈDE DANS LA MÊME FAMILLE. ON DIT QU'IL EST SON "ANALOGUE CHIMIQUE".
Et donc:
-Il découple la « chaîne respiratoire » en se substituant au phosphore (dans le phosphate, dans la réaction de formation de l’ATP).
-Les protéines coagulent quand la concentration en arsenic inorganique est forte : réaction arsenic/liens sulfures ou réaction arsenic/site actif.
-L’arsenic se complexe avec les groupes sulfhydryles des enzymes.
Hors ou trouvons nous le PHOSPHORE chez nous autres les vertébrés?.
Mis à part dans nos os et dans nos dents, il entre aussi dans la composition de l'ATP (Adénosine TriPhosphate). Le rôle principal de l'adénosine triphosphate est de fournir l’énergie nécessaire aux réactions chimiques des cellules. C’est un nucléotide servant à stocker et transporter l’énergie. Cela ne vous rappelle rien?, c'est exactement là que Chlamydia P agit en détournant nos MITOCHONDRIES de nos propres cellules, en quelque sorte l'ATP, pour son propre compte.
C'est dans les mitochondries que l'énergie fournie par les molécules organiques est récupérée sous forme d'ATP (énergie contenue dans la liaison phosphate-phosphate), la source principale d'énergie pour la cellule eucaryote, par le processus d'oxydation phosphorylante ou phosphorylation oxydative. C'est une voie métabolique qui utilise l'énergie libérée par l'oxydation des nutriments pour la production d'adénosine triphosphate. Bien que les différentes formes de vie absorbent une grande variété de nutriments, presque tous les organismes aérobies ont recours à la phosphorylation oxydative pour produire de l'ATP, la molécule qui fournit de l'énergie au métabolisme. Le rendement énergétique de cette voie métabolique est bien meilleur que celui des fermentations ou de la glycolyse anaérobie, ce qui explique sans doute qu'elle soit universelle. Chez l'humain, l'ATP constitue la seule énergie utilisable par le MUSCLE.
Les stocks d'ATP de l'organisme ne dépassent pas quelques secondes de consommation. En principe, l'ATP est produite en permanence, et tout processus qui bloque sa production (ce qui est le cas de certains gaz de combat conçus à cet effet, ou de poisons, comme le cyanure, qui bloque la chaîne respiratoire, ou l'ARSENIC qui remplace le phosphore et rend inutilisables les molécules phosphorées) provoque en conséquence une mort rapide de l'organisme contaminé.
Le phosphore est un oligoélément indispensable - sous forme de sels - pour de nombreux organismes vivants, et sous forme de phosphate notamment pour les plantes. Sous formes solubles et solubilisées notamment, le phosphore a servi de médicament (extrait de l'urine humaine jusqu'en 1774). On se demanda ensuite si ces effets médicaux sont vraiment dus au phosphore, où à ses sels, ou aux synergies avec d'autres ingrédients ; Ainsi en 1798, la société de médecine de paris questionne « les propriétés médicamenteuses du phosphore, des acides phosphoriques et phosphoreux » (question restée sans réponse). « Du système nerveux dont il exalte d'abord la sensibilité, il parait répandre son action sur les principaux systèmes de l'économie, accélérer ainsi la circulation, augmenter la chaleur, accroître au plus haut degré l'irritabilité musculaire, d'après les expériences de Fr. Pilger (Ann. clin, de Montp., XXXVII, 360); enfin agir souvent aussi sur les exhalants cutanés, la sécrétion urinaire, dont le produit devient quelquefois phosphorescent, peut exhaler l'odeur du soufre ou de la violette, enfin et surtout, exciter puissamment l'appareil génital. Ce dernier phénomène, qui peut aller jusqu'au priapisme, est le plus constant et le plus remarquable de ses effets physiologiques : A. Leroy et M. le docteur Bouttatz l'ont eux-mêmes éprouvé ; M. Boudet (Il l’avait observé chez un vieillard ; B. Pelletier l'avait vu chez les canards, dont le mâle n'a cessé qu'à la mort de couvrir ses femelles) nous assure que le contact prolongé de la peau avec le phosphore suffit pour le faire naître : aussi a-t-on cru pouvoir rapporter à la présence du phosphore dans les poissons la vertu aphrodisiaque qu'on leur attribue ». Encore un Viagra aux oubliettes, moins rentable?, plus toxique?....
Car quand il est pur, et sous certaines de ses formes, c'est un puisant toxique et corrosif de l'organisme. On le sait depuis longtemps, un peu comme l'Arsenic.
De plus, l'inhalation des vapeurs de phosphore entraînait, chez les ouvriers des fabriques d'allumettes, une nécrose des os de la mâchoire, connue sous le nom de nécrose phosphorée.
Un excès de phosphore alimentaire déclenche une hyperphosphatémie appelée aussi l' hyperphosphorémie temporaire qui inhibe la synthèse de vitamine D. D'ici que notre vilaine bébête, Chlamydia P, s'amuse à ce niveau là aussi avec notre SEP, cela ne m'étonnerait pas.
Aliments à forte teneur en phosphore
-Sodas (ceux riches en acide phosphorique ont environ 20 mg de phosphore dans 100 ml)
-Bacon, cervelle d'agneau, foie de veau
-Fromages à pâte dure : Parmesan, Emmental, Comté, Gruyère, Gouda, Edam, Morbier, Cantal
-Poudre de lait entier
-Sardine, saumon, morue, carpe, seiche
-Datte
-Noix de cajou, noix du Brésil, pignon, Pistache
-Germe de soja ont environ 700 mg de phosphore sur 100 g
-Son de blé, avoine, millet
Mais on peut aussi souffrir d'une carence en phosphore dans certaines conditions. La carence en phosphore entraîne une déminéralisation du tissu osseux associée à des troubles respiratoires, des troubles cardiaques et parfois des troubles neurologiques. Les conséquences cliniques d’une hypophosphatémie sévère avec déplétion phosphatée reposent sur la diminution du contenu cellulaire en ATP et du contenu des hématies en 2,3- diphosphoglycérate, cette dernière situation étant responsable d’une augmentation de l’affinité de l’hémoglobine pour l’oxygène et d’une HYPOXIE cellulaire.
Le phosphore est un élément indispensable à la vie. En soi, il n’est pas toxique, mais il provoque l’eutrophisation lorsqu’il est en excès dans les eaux. Le phosphate est la forme sous laquelle le phosphore peut être assimilé par les êtres vivants, en particulier les algues. Chimiquement, le phosphate est une combinaison d’atomes de phosphore et d’oxygène.
Le cycle du phosphore est unique parmi les cycles biogéochimiques majeurs car il ne possède pas de composante gazeuse. Par conséquent, il n’affecte pratiquement pas l’atmosphère. En milieu terrestre, le phosphore est, le plus souvent, sous forme de phosphate c’est-à-dire un atome de phosphore entouré de quatre atomes d’oxygène (PO4).
Je n'ai pas de conclusion, tout au plus des présomptions et ne demande qu'à en débattre avec le plus grand nombre. Nous avons besoin du Phosphore, voir de l'Arsenic, mais comme beaucoup tout est question de doses mais aussi de formes. Il y a un équilibre prépondérant qui assure l'harmonie et une rupture qui se produit à un instant qui déclenchera une cascade de réactions. Les liaisons complexes avec l'oxygène peuvent transformer un élément essentiel en toxique, d’où l'utilisation accentuée ces derniers temps d'antioxydants par exemple. Qu'est ce qui fait que notre corps souffre de ces déséquilibres.?, est ce une bactérie ou autre qui s'interpose dans nos métabolismes?, est ce au contraire des facteurs autres qui transforment des conditions permettant à la bactérie ou autres de s'installer et de profiter à notre détriment?, est ce une adaptation aux phénomènes extérieurs tel qu'une carence en oxygène momentanée par exemple?, c'est encore le pénible cercle vicieux de l’œuf et la poule. Vous avez tous entendu parler des algues vertes, de leurs effets nocifs plus ou moins camouflés ces dernières années, et bien nous sommes en plein dans le sujet. C'est pourquoi me débarrasser d'une bactérie qui a provoqué ou profité de la situation pour m'empoisonner la vie avec des antibiotiques me convient mieux que de tenter l'Arsenic qui la tuera peut être mais ne fera sans doute pas le tri avec mes cellules viables et déstabilisera le milieu plus encore. Ceci dit j'extrapole avec ce que j'ai et ce n'est que très peu je vous l'accorde. Mais j'ai tout de même l'impression que certaines bactéries, tout comme nos mitochondries que l'on a intégré dans nos cellules il y a 1 à 2 milliards d'années car il s'agissait de bactéries capables d'utiliser l'oxygène, ont une longueur d'avance sur nous cette fois encore.
La nasa et le monde scientifique polémique déjà depuis 2010 sur ces faits et la vérité financière plombe là aussi le terrain, Phosphore, Arsenic, Plomb, Amiante, Mercure, Aluminium etc....à quand la transparence gratuite!!!.
http://www.lemonde.fr/sciences/article/2012/07/09/la-theorie-d-une-bacterie-vivant-juste-d-arsenic-refutee_1730872_1650684.html
http://sciences.blog.lemonde.fr/2010/12/02/la-bacterie-larsenic-et-la-vie-extra-terrestre/
etc....