http://www.santelog.com/news/recherche-medicale/des-neurones-a-partir-de-cellules-rejetees-dans-l-urine-_9518_lirelasuite.htm
des neurones à partir de cellules rejetées...............
Invité- Invité
Des NEURONES à partir de cellules rejetées dans l'urine ? - Nature ...
santé log
La technique présentée évite ainsi les cellules souches embryonnaires et leurs inconvénients lorsque transplantés, comme le risque de développement de tumeurs. Elle utilise des cellules ordinaires présentes dans cette source très accessible qu'est l'urine.
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La technique présentée évite ainsi les cellules souches embryonnaires et leurs inconvénients lorsque transplantés, comme le risque de développement de tumeurs. Elle utilise des cellules ordinaires présentes dans cette source très accessible qu'est l'urine.
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Fred1208- Messages : 3338
Date d'inscription : 28/04/2010
Age : 63
Localisation : Orbite géostationnaire
Hello Alain,
La recherche a travaillé sur les cellules souches adultes à cause des restrictions liées à l'utilisation des cellules souches embryonnaires.
Tu as parfaitement raison, les cellules souches embryonnaires sont hétérologues, c'est à dire non issues du "soi", et par conséquent un risque de rejet existe, ou de tumeur.
Par contre, elles sont pluripotentes, capable de se différencier en n'importe quel type de cellules ce que ne sont pas capables de faire les cellules souches adultes autologues (issus du "soi") qui elles par contre ne sont pas sujettes à un rejet par l'organisme et à un développement de tumeur.
Les chercheurs considèrent in fine que les cellules souches embryonnaires offrent plus de débouchés que les cellules souches adultes, qui ont des limitations.
(Voir texte INSERM ci-dessous)
Je précise que les cellules souches embryonnaires ce sont quelques cellules, n'ayant pas grand chose à voir avec un être humain, et qui sont de toute façon vouées à la destruction.
"Mars 2012
Les cellules souches embryonnaires (ES) humaines
Ces dernières décennies ont vu les recherches sur les cellules souches embryonnaires (ES) humaines se développer considérablement. En effet, ces cellules ne cessent de susciter l’intérêt des chercheurs, notamment pour leur immense potentiel thérapeutique. L’Inserm et les chercheurs français ne font pas exception à la règle et tentent de se faire une place dans ce domaine.
Il y a tout juste dix ans, une lignée de cellules souches embryonnaires (ES) humaines était réalisée pour la première fois au monde par une équipe américaine (1). Depuis lors, les recherches menées sur les cellules ES humaines n’ont cessé de se développer, en raison notamment des enjeux thérapeutiques considérables qu’elles suscitent. Néanmoins, l’épanouissement de ce domaine de recherche a dû faire face à un obstacle majeur sur son parcours : la législation, qui interdisait, dans de nombreux pays, l’accès aux cellules d’embryons humains dits "surnuméraires", issus de la fécondation in vitro et voués à la destruction. En France, les chercheurs ont dû attendre fin 2004 pour obtenir les dérogations nécessaires pour pouvoir travailler sur les cellules embryonnaires humaines. Depuis, plusieurs équipes se sont formées et ont développé différents projets, avec l’envie de rattraper le retard accumulé par la France ces dernières années.
Pourquoi travailler sur des cellules ES ?
Les cellules souches embryonnaires proviennent de l’embryon humain aux tout premiers stades de son développement, quelques jours seulement après la fécondation. Ces cellules sont dites "pluripotentes" : elles peuvent se répliquer indéfiniment (autorenouvellement), proliférer en culture et se différencier en plus de 200 types de tissus. Au cours du développement, elles ont vocation à former tous les tissus de l’organisme. C’est notamment sur cette capacité que reposent les espoirs actuels en termes d’applications biologiques et médicales. Elles pourraient en effet constituer un réservoir permanent de cellules pour réparer les organes malades ou endommagés. Dans certains cas, elles pourraient même remplacer la greffe d’organes.
© Inserm, L. Audinet
I−Stem, unité Inserm 861
Mais qu’en est-il des cellules souches adultes ? N’ont-elles pas autant de potentiel que les cellules ES ? L’interdiction législative et les nombreux débats éthiques sur les cellules ES ont poussé les chercheurs à travailler intensément sur les cellules souches adultes. Présentes dans la plupart de nos tissus, ces cellules sont dites "multipotentes". Elles sont également capables de s’autorenouveler et de se différencier en plusieurs autres types de tissus, mais elles sont déjà engagées dans une certaine direction. Elles sont déjà déterminées. Par exemple, les cellules hématopoïétiques des mammifères donnent des globules rouges, des plaquettes, des lymphocytes T ou B, des macrophages, mais elles ne peuvent pas donner des cellules musculaires. Les cellules souches adultes offrent donc un potentiel plus restreint que les cellules ES.
Les chercheurs plaçaient cependant beaucoup d’espoir dans les cellules souches adultes, d’autant que leur utilisation ne pose aucun problème éthique. Mais, au cours des dix dernières années, les travaux menés ont montré leurs limites. Dans les essais de thérapie cellulaire, leur efficacité s’est révélée faible, voire nulle. Tout d’abord, les cellules souches adultes sont peu accessibles et donc peu disponibles. Elles ne se remettent pas en fonction lorsque l’organe est altéré, sauf dans le cas de certains tissus gardant une bonne capacité de prolifération, comme les muscles ou le foie. Et surtout, elles ne sont pas aussi multipotentes qu’on l’espérait initialement, leur capacité de différenciation n’est pas aussi bonne qu’on le pensait.
Pour toutes ces raisons, les scientifiques reviennent aujourd’hui vers les cellules ES."
La recherche a travaillé sur les cellules souches adultes à cause des restrictions liées à l'utilisation des cellules souches embryonnaires.
Tu as parfaitement raison, les cellules souches embryonnaires sont hétérologues, c'est à dire non issues du "soi", et par conséquent un risque de rejet existe, ou de tumeur.
Par contre, elles sont pluripotentes, capable de se différencier en n'importe quel type de cellules ce que ne sont pas capables de faire les cellules souches adultes autologues (issus du "soi") qui elles par contre ne sont pas sujettes à un rejet par l'organisme et à un développement de tumeur.
Les chercheurs considèrent in fine que les cellules souches embryonnaires offrent plus de débouchés que les cellules souches adultes, qui ont des limitations.
(Voir texte INSERM ci-dessous)
Je précise que les cellules souches embryonnaires ce sont quelques cellules, n'ayant pas grand chose à voir avec un être humain, et qui sont de toute façon vouées à la destruction.
"Mars 2012
Les cellules souches embryonnaires (ES) humaines
Ces dernières décennies ont vu les recherches sur les cellules souches embryonnaires (ES) humaines se développer considérablement. En effet, ces cellules ne cessent de susciter l’intérêt des chercheurs, notamment pour leur immense potentiel thérapeutique. L’Inserm et les chercheurs français ne font pas exception à la règle et tentent de se faire une place dans ce domaine.
Il y a tout juste dix ans, une lignée de cellules souches embryonnaires (ES) humaines était réalisée pour la première fois au monde par une équipe américaine (1). Depuis lors, les recherches menées sur les cellules ES humaines n’ont cessé de se développer, en raison notamment des enjeux thérapeutiques considérables qu’elles suscitent. Néanmoins, l’épanouissement de ce domaine de recherche a dû faire face à un obstacle majeur sur son parcours : la législation, qui interdisait, dans de nombreux pays, l’accès aux cellules d’embryons humains dits "surnuméraires", issus de la fécondation in vitro et voués à la destruction. En France, les chercheurs ont dû attendre fin 2004 pour obtenir les dérogations nécessaires pour pouvoir travailler sur les cellules embryonnaires humaines. Depuis, plusieurs équipes se sont formées et ont développé différents projets, avec l’envie de rattraper le retard accumulé par la France ces dernières années.
Pourquoi travailler sur des cellules ES ?
Les cellules souches embryonnaires proviennent de l’embryon humain aux tout premiers stades de son développement, quelques jours seulement après la fécondation. Ces cellules sont dites "pluripotentes" : elles peuvent se répliquer indéfiniment (autorenouvellement), proliférer en culture et se différencier en plus de 200 types de tissus. Au cours du développement, elles ont vocation à former tous les tissus de l’organisme. C’est notamment sur cette capacité que reposent les espoirs actuels en termes d’applications biologiques et médicales. Elles pourraient en effet constituer un réservoir permanent de cellules pour réparer les organes malades ou endommagés. Dans certains cas, elles pourraient même remplacer la greffe d’organes.
© Inserm, L. Audinet
I−Stem, unité Inserm 861
Mais qu’en est-il des cellules souches adultes ? N’ont-elles pas autant de potentiel que les cellules ES ? L’interdiction législative et les nombreux débats éthiques sur les cellules ES ont poussé les chercheurs à travailler intensément sur les cellules souches adultes. Présentes dans la plupart de nos tissus, ces cellules sont dites "multipotentes". Elles sont également capables de s’autorenouveler et de se différencier en plusieurs autres types de tissus, mais elles sont déjà engagées dans une certaine direction. Elles sont déjà déterminées. Par exemple, les cellules hématopoïétiques des mammifères donnent des globules rouges, des plaquettes, des lymphocytes T ou B, des macrophages, mais elles ne peuvent pas donner des cellules musculaires. Les cellules souches adultes offrent donc un potentiel plus restreint que les cellules ES.
Les chercheurs plaçaient cependant beaucoup d’espoir dans les cellules souches adultes, d’autant que leur utilisation ne pose aucun problème éthique. Mais, au cours des dix dernières années, les travaux menés ont montré leurs limites. Dans les essais de thérapie cellulaire, leur efficacité s’est révélée faible, voire nulle. Tout d’abord, les cellules souches adultes sont peu accessibles et donc peu disponibles. Elles ne se remettent pas en fonction lorsque l’organe est altéré, sauf dans le cas de certains tissus gardant une bonne capacité de prolifération, comme les muscles ou le foie. Et surtout, elles ne sont pas aussi multipotentes qu’on l’espérait initialement, leur capacité de différenciation n’est pas aussi bonne qu’on le pensait.
Pour toutes ces raisons, les scientifiques reviennent aujourd’hui vers les cellules ES."
Is it always like this ?
Invité- Invité
hello fred,déja de retour?je ne connais pas encore trés bien "les cellules souches",juste les bases par m/pasc.
je suis avec une découverte vraiment surprenante,qui n'a pour l'instant rien à voir avec la SEP ,mais??
je vais tenter un post dans "recherches"
bonne soirée,
je suis avec une découverte vraiment surprenante,qui n'a pour l'instant rien à voir avec la SEP ,mais??
je vais tenter un post dans "recherches"
bonne soirée,
Fred1208- Messages : 3338
Date d'inscription : 28/04/2010
Age : 63
Localisation : Orbite géostationnaire
Il faut bien rentrer
je n'ai pas d'à-priori, si les Chinois, des Russes ou des Thaïlandais parviennent à trouver une solution issue de l'urine ou de n'importe quoi d'autre, ça ma va aussi
je n'ai pas d'à-priori, si les Chinois, des Russes ou des Thaïlandais parviennent à trouver une solution issue de l'urine ou de n'importe quoi d'autre, ça ma va aussi