Sur MS-UK:
Insuffisance Veineuse Céphalorachidienne Chronique (IVCC) :
Les premières améliorations des auto-déclarations n’ont pas été soutenues, lors du rendez-vous de suivi.
(24/09/13)
Résumé
Contexte: l’angioplastie avec ou sans stents intravasculaires (le traitement de «libération») avait été proposé comme traitement à des patients SEP, qui avaient des signes radiologiques évocateurs d'une insuffisance veineuse céphalo-rachidienne chronique (IVCC).
Le but du Registre IVCC de la Colombie-Britannique (BC) était de recueillir et d’enregistrer des données sur la sécurité et l’efficacité du traitement, chez des patients canadiens atteints de SEP qui ont eu le traitement de «libération» à l'étranger.
Méthodes: A l’aide d’un sondage téléphonique standard, des patients SEP volontaires, ont été interrogés à quatre reprises : dés le début, à 6 mois, 12 mois et 24 mois.
Les participants étaient invités à évaluer leur état de santé général (GH), leur niveau de fatigue (FL), la mobilité (M), le taux d’activité (EL) et le niveau ( résultats) de la procédure (PR) sur une échelle de 5 (1 = beaucoup mieux, 2 = un peu mieux, . 3 = similaire, 4 = un peu moins bien et 5 = très mauvais):
A la date du 23 Avril 2013, 76 patients avaient effectué les 2 premières interviews.
Les résultats rapportés par les patients au premier entretien (moyenne 15,5 mois après le traitement) et à 6 mois du suivi (moyenne 21,5 mois post-traitement) seront présentés.
Conclusions: La majorité des améliorations auto déclarées par les participants en matière de santé globale, au niveau de la fatigue, de la mobilité et de l’activité, suite au traitement IVCC dit de «libération», sont à court terme et déclinent avec le temps.
Fait intéressant, alors que cette perception personnelle de l'impact de la thérapie diminue au fil du temps, cette perception est moins vraie lorsque les patients sont invités à évaluer l'ensemble de la procédure (PR). Cela peut s'expliquer par les problèmes psychosociaux et interpersonnels plutôt que par une véritable mesure de l'issue du traitement.
L. Kipp, I. Yee, AD Sadovnick, T. Greenwood, M. de Lemos, G. Keyes, L. Machan, A. Traboulsee (Vancouver, CA) Source: ECTRIMS (24/09/13)
Insuffisance Veineuse Céphalorachidienne Chronique (IVCC) :
Les premières améliorations des auto-déclarations n’ont pas été soutenues, lors du rendez-vous de suivi.
(24/09/13)
Résumé
Contexte: l’angioplastie avec ou sans stents intravasculaires (le traitement de «libération») avait été proposé comme traitement à des patients SEP, qui avaient des signes radiologiques évocateurs d'une insuffisance veineuse céphalo-rachidienne chronique (IVCC).
Le but du Registre IVCC de la Colombie-Britannique (BC) était de recueillir et d’enregistrer des données sur la sécurité et l’efficacité du traitement, chez des patients canadiens atteints de SEP qui ont eu le traitement de «libération» à l'étranger.
Méthodes: A l’aide d’un sondage téléphonique standard, des patients SEP volontaires, ont été interrogés à quatre reprises : dés le début, à 6 mois, 12 mois et 24 mois.
Les participants étaient invités à évaluer leur état de santé général (GH), leur niveau de fatigue (FL), la mobilité (M), le taux d’activité (EL) et le niveau ( résultats) de la procédure (PR) sur une échelle de 5 (1 = beaucoup mieux, 2 = un peu mieux, . 3 = similaire, 4 = un peu moins bien et 5 = très mauvais):
A la date du 23 Avril 2013, 76 patients avaient effectué les 2 premières interviews.
Les résultats rapportés par les patients au premier entretien (moyenne 15,5 mois après le traitement) et à 6 mois du suivi (moyenne 21,5 mois post-traitement) seront présentés.
Conclusions: La majorité des améliorations auto déclarées par les participants en matière de santé globale, au niveau de la fatigue, de la mobilité et de l’activité, suite au traitement IVCC dit de «libération», sont à court terme et déclinent avec le temps.
Fait intéressant, alors que cette perception personnelle de l'impact de la thérapie diminue au fil du temps, cette perception est moins vraie lorsque les patients sont invités à évaluer l'ensemble de la procédure (PR). Cela peut s'expliquer par les problèmes psychosociaux et interpersonnels plutôt que par une véritable mesure de l'issue du traitement.
L. Kipp, I. Yee, AD Sadovnick, T. Greenwood, M. de Lemos, G. Keyes, L. Machan, A. Traboulsee (Vancouver, CA) Source: ECTRIMS (24/09/13)