Le fingolimod est un bel espoir d'échappée des patients jusqu'ici enfermés
dans un diagnostic de "sclérose en plaques" et qui pouvait
semblait inexorable. Une maladie sans cause connue qui bénéficie
d'un traitement à l'action elle aussi mal expliquée en physiopathologie
conventionnelle, mais qui perpétue une connaissance et un
usage empiriques attestés. L'occultisme auto-immun, lui, essaie
encore de se raccrocher au wagon.
Les
essais cliniques récents montrent une efficacité plus grande de ce
nouveau médicament que de la référence actuelle,
l'interféron-béta, sur la fréquence des poussées et l'évolution de
la maladie. Abaissant la fréquence cardiaque, il nécessite cependant une
surveillance cardiologique. Les immunologistes observent que le fingolimod
entraine la dégradation des "récepteurs membranaires couplés à la
protéine G", des
dispositifs d'activation cellulaire usuels chez les vertébrés
supérieurs. Par ce mécanisme, ils pourrait bloquer l'émigration à partir
du thymus et des ganglions lymphatiques, vers la lymphe, le
sang et les organes, des lymphocytes T "de réserve". Ce mécanisme
indirect a été étudié dans le cadre de l'hypothèse "autorisée"
dys-immunitaire de la sclérose en plaques, mais une action directe
sur la gaine de myéline est cependant également probable du fait de
la nature chimique du fingolimod.
réflexion complète ici:
http://interlivrehypertexte.over-blog.com/article-traversee-des-formes-et-plus-sclerose-115635226.html
dans un diagnostic de "sclérose en plaques" et qui pouvait
semblait inexorable. Une maladie sans cause connue qui bénéficie
d'un traitement à l'action elle aussi mal expliquée en physiopathologie
conventionnelle, mais qui perpétue une connaissance et un
usage empiriques attestés. L'occultisme auto-immun, lui, essaie
encore de se raccrocher au wagon.
Les
essais cliniques récents montrent une efficacité plus grande de ce
nouveau médicament que de la référence actuelle,
l'interféron-béta, sur la fréquence des poussées et l'évolution de
la maladie. Abaissant la fréquence cardiaque, il nécessite cependant une
surveillance cardiologique. Les immunologistes observent que le fingolimod
entraine la dégradation des "récepteurs membranaires couplés à la
protéine G", des
dispositifs d'activation cellulaire usuels chez les vertébrés
supérieurs. Par ce mécanisme, ils pourrait bloquer l'émigration à partir
du thymus et des ganglions lymphatiques, vers la lymphe, le
sang et les organes, des lymphocytes T "de réserve". Ce mécanisme
indirect a été étudié dans le cadre de l'hypothèse "autorisée"
dys-immunitaire de la sclérose en plaques, mais une action directe
sur la gaine de myéline est cependant également probable du fait de
la nature chimique du fingolimod.
réflexion complète ici:
http://interlivrehypertexte.over-blog.com/article-traversee-des-formes-et-plus-sclerose-115635226.html