Fred1208 Dim 26 Avr 2020 - 8:46Rappel :
Phase IIb positive, démonstration du mode d'action sur l'aspect neuro-dégénératif de la maladie, qui démarre dès le début de la maladie, et devient primordial lors du passage en forme progressive.
A terme, plus de poussées du tout pour les formes de SEP NON ACTIVES PROGRESSIVES SECONDAIRES de la maladie.
Dans ces cas, plus du tout d'inflammation, ce qui correspond aux poussées des SEPs rémittentes.
Cependant, il existe des SEPs secondaires ACTIVES (avec poussées)
Résumons (je vous incite à lire ou relire le document joint:
https://www.dropbox.com/s/4bxmc98gtjmx363/GeNeuro_juin_2019_Fr.pdf?dl=0
Au début de la maladie on observe :
85% de SEPs rémittentes (avec poussées inflammatoires) MAIS la neurodégénération démarre dès le début.
15% DE SEPs primaires progressives (sans poussées, neuro-dégénération seule active).
Au bout de 10/15 ans, % des SEPs rémittentes se transforment en SEP SECONDAIRES PROGRESSIVES.
NON ACTIVES (sans poussées) ou ACTIVES (avec).
Sur le marché, la plupart des "traitements" anti-inflammatoires concerne les SEPs rémittentes, censés ralentir la maladie, diminuant d'environ 30% les poussées.
Pratiquement rien pour les formes progressives et peu efficaces (seulement un ralentissement de 24% de la progression de l'EDSS pour l'Ocrevus de Roche)
On comprend bien l'avancée EXTRAORDINAIRE que serait l'arrivée du Temelimab de GeNeuro qui :
1 Cible POUR LA PREMIERE FOIS LA CAUSE DE DECLENCHEMENT DE LA MALADIE
2 PERMETTRAIT DE STOPPER LE PROCESSUS, pas seulement de le ralentir.
3 SANS EFFETS SECONDAIRES (ne modifie pas le système immunitaire)
Le Temelimab pourrait être proposé seul pour les formes progressives, et en conjonction avec un anti-inflammatoire pour les SEPs rémittentes ET SEP SECONDAIRES ACTIVES.
Malheureusement, le Coronavirus ralentit les choses.
GeNeuro devait lancer à Stockholm une étude pour évaluer les fortes doses.
Ceci ouvrant potentiellement la porte à un partenariat avec une big pharma, finançant la ou les phases 3.
Mais la sécurité des patients, fragilisés, est primordiale, d'où le report annoncé par GeNeuro.
Phase IIb positive, démonstration du mode d'action sur l'aspect neuro-dégénératif de la maladie, qui démarre dès le début de la maladie, et devient primordial lors du passage en forme progressive.
A terme, plus de poussées du tout pour les formes de SEP NON ACTIVES PROGRESSIVES SECONDAIRES de la maladie.
Dans ces cas, plus du tout d'inflammation, ce qui correspond aux poussées des SEPs rémittentes.
Cependant, il existe des SEPs secondaires ACTIVES (avec poussées)
Résumons (je vous incite à lire ou relire le document joint:
https://www.dropbox.com/s/4bxmc98gtjmx363/GeNeuro_juin_2019_Fr.pdf?dl=0
Au début de la maladie on observe :
85% de SEPs rémittentes (avec poussées inflammatoires) MAIS la neurodégénération démarre dès le début.
15% DE SEPs primaires progressives (sans poussées, neuro-dégénération seule active).
Au bout de 10/15 ans, % des SEPs rémittentes se transforment en SEP SECONDAIRES PROGRESSIVES.
NON ACTIVES (sans poussées) ou ACTIVES (avec).
Sur le marché, la plupart des "traitements" anti-inflammatoires concerne les SEPs rémittentes, censés ralentir la maladie, diminuant d'environ 30% les poussées.
Pratiquement rien pour les formes progressives et peu efficaces (seulement un ralentissement de 24% de la progression de l'EDSS pour l'Ocrevus de Roche)
On comprend bien l'avancée EXTRAORDINAIRE que serait l'arrivée du Temelimab de GeNeuro qui :
1 Cible POUR LA PREMIERE FOIS LA CAUSE DE DECLENCHEMENT DE LA MALADIE
2 PERMETTRAIT DE STOPPER LE PROCESSUS, pas seulement de le ralentir.
3 SANS EFFETS SECONDAIRES (ne modifie pas le système immunitaire)
Le Temelimab pourrait être proposé seul pour les formes progressives, et en conjonction avec un anti-inflammatoire pour les SEPs rémittentes ET SEP SECONDAIRES ACTIVES.
Malheureusement, le Coronavirus ralentit les choses.
GeNeuro devait lancer à Stockholm une étude pour évaluer les fortes doses.
Ceci ouvrant potentiellement la porte à un partenariat avec une big pharma, finançant la ou les phases 3.
Mais la sécurité des patients, fragilisés, est primordiale, d'où le report annoncé par GeNeuro.
