bref moi c est plus complique que ça!!!
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Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
dane83- Messages : 1741
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Localisation : la crau
- Message n°101
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
pour info je n ai pas de rendez vous en italie mais j ai ecrit pour demander si ,avec l'angiographie et les resultats: hypoplasie majeure de la veine vertebrale gauche pour savoir si ma sep etait "vasculaire" ou pas?...et j ai reçue la reponse :c est une ccsvi...et mon cas sera etudie par galeotti ,zamboni ,salvi...je ne m attendait pas a cela ,pour le moment j ai envoye les conclusions de mon angiographie...j attends la suite ...tu vois ,moi je ne joue pas dans le cmp des uni ou bi jugulariste...
bref moi c est plus complique que ça!!!
bref moi c est plus complique que ça!!!
Domyleen- Messages : 7917
Date d'inscription : 29/04/2010
Localisation : Normandie
- Message n°102
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Carrément la "sainte trinité" de la CCSVI ...
C'est vrai que depuis le temps que tu nous chantes "Zamboni sera mon dieu"! ... eh bien,... c'est possible!!!!
Invité- Invité
- Message n°103
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Et du coup, si on la soigne... Dane va se mettre à genoux, crier au miracle, chanter des cantiques, baiser sa robe, pardon son pantalon, et on va encore ns dire q c'est l'effet placebo ! Attention Dane, tu ne cries pas au miracle, tu cesses de dire q Zambo est ton dieu devant n'importe qui (genre des neuros bouchés), la CCSVI est VRAIMENT une anomalie d'ordre scientifique. Et tu vas le prouver.
dane83- Messages : 1741
Date d'inscription : 02/05/2010
Age : 67
Localisation : la crau
- Message n°104
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
une athée comme moi ...depuis que je connais la ccsvi j ai toujours cette signature et" zamboni sera mon dieu" !c est bien ce que je pense...en tout cas les neuros bouches ne sont pas passes parmoi!!!!
va falloir qu il m'opere le cher homme !!(je sais bien que c est en italie ...lui ou un autre )en tout cas c est imminent!
hier soir mon fils me disait :je n ai pas tout compris a ton histoire mais fait gaffe...donc je vais essayer d etre calme et sereine en attendant un autre mail...
va falloir qu il m'opere le cher homme !!(je sais bien que c est en italie ...lui ou un autre )en tout cas c est imminent!
hier soir mon fils me disait :je n ai pas tout compris a ton histoire mais fait gaffe...donc je vais essayer d etre calme et sereine en attendant un autre mail...
Lara- Messages : 229
Date d'inscription : 08/05/2010
Age : 68
Localisation : Fontainebleau (Seine et Marne)
- Message n°105
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Dane, je te souhaite vraiment que les choses avancent pour toi en Italie!
Ayons aussi une pensée pour l'une des unijug's, Marie-Pascale, qui prend l'avion pour Sofia très très bientôt.
Bonne chance, Marie-Pascale!
Reviens -nous bijug et libérée!
Lara
dane83- Messages : 1741
Date d'inscription : 02/05/2010
Age : 67
Localisation : la crau
- Message n°106
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
en effet c est plus proche :bonne chance marie Pascale..
reviens nous avec tout !!!et même les deux jugulaires !!
bien grosses bien dilatées ...et meme bien jouflues !!
cela remontera le moral de l equipe!
reviens nous avec tout !!!et même les deux jugulaires !!
bien grosses bien dilatées ...et meme bien jouflues !!
cela remontera le moral de l equipe!
Arnaud- Invité
- Message n°107
jugulaire gauche bloquée
Arnaud 38 ans sep depuis l'age de 20 ans, bolus, copaxone, betaferon, tysabri et maintenant methotrexate car sep secondairement progressive.
J'ai Dr F et Dr G : aplasie jugulaire gauche(bloquée) veines sacrales très petites et je ne marche pratiquement plus.
Question : mon état veineux a t'il toujours été ainsi ou ceci est apparu avec la maladie ??
J'ai Dr F et Dr G : aplasie jugulaire gauche(bloquée) veines sacrales très petites et je ne marche pratiquement plus.
Question : mon état veineux a t'il toujours été ainsi ou ceci est apparu avec la maladie ??
Domyleen- Messages : 7917
Date d'inscription : 29/04/2010
Localisation : Normandie
- Message n°108
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Bonjour Arnaud, et bienvenue!
Je pense que personne, ici, ne pourra te répondre! D'une part , nous ne sommes pas médecins, mais des personnes qui ont le même problème que toi ...
et surtout, c'est un peu la question que se pose la Recherche sur CCSVI et qu'on essaie de démontrer: CCSVI est-elle la CAUSE de la SEP, ou une CONSEQUENCE ?
Pour l'instant, officiellement, il faut attendre le résultat des recherches (Buffalo, Calgary et les 7 sites qui ont reçu des fonds de la MS Society du Canada et des USA)!
En tous cas, si F. et G. ont trouvé une aplasie, je pense que cela peut expliquer certains de tes symptômes...
Concernant ta jugulaire, elle est en principe opérable, mais je pense que G. ne va pas se risquer, pour l'instant, pour les veines sacrales ...
Par contre , dans ton cas, je n'attendrais pas que la SEP progresse, et je pense qu'il serait raisonnable d'envisager, au moins l'intervention au niveau de la jugulaire! ce n'est que mon avis, mais voir avec G., (même si elle intervient trop rarement!), son avis est trés important , elle est compétente et a de l'expérience!
arnaud- Invité
- Message n°109
jugulaire operable?
Domyleen,
J'ai deja vu Dr.G mais elle n'a pas vu de stenoses. Dpnc pas de dilatation en vue et pour une intervention sur la jugulaire, elle ne m'en a pas parlé. Crois tu que ce soit possible ?
Merci pour ta reponse.
Arnaud
J'ai deja vu Dr.G mais elle n'a pas vu de stenoses. Dpnc pas de dilatation en vue et pour une intervention sur la jugulaire, elle ne m'en a pas parlé. Crois tu que ce soit possible ?
Merci pour ta reponse.
Arnaud
Domyleen- Messages : 7917
Date d'inscription : 29/04/2010
Localisation : Normandie
- Message n°110
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Excuse-moi, Arnaud;
Je n'avais pas vu ton post:
Perso, je ne sais pas si c'est possible: c'est dct G. qui peut te le dire : je ne suis pas médecin... et seul, un spécialiste vasculaire peut te répondre:
Mais s'il n'y a pas de sténoses...il n'y a rien à faire... mais je ne comprends pas, je croyais que tu avais une aplasie aux jugulaires (ou à une), et , en principe, il est possible dans ce cas de "gonfler" la veine: à moins qu'elle ne soit située à un endroit innaccessible ..(?)
Pourquoi n'as-tu pas demander à dct G. ??
izuba- Messages : 523
Date d'inscription : 28/04/2010
- Message n°111
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Voilà, j'ai passé ma phlébographie hier avec G et un autre phlébologue interventionniste à la Salpétrière.
Elle a confirmé l'absence de jugulaire externe gauche. Cette absence de jugulaire externe est fréquente et n'est pas grave, G elle-même n'a pas de jugulaire externe gauche.Je précise externe, car Marie Pascale qui n'en a pas à droite, dit qu'en Bulgarie ils lui ont trouvé, pour G oui mais c'est la jugulaire interne qui est toujours présente.
Sinon système veineux impeccable...Rien à faire et je la crois.
Lorsque je lui ai évoqué les statistiques obtenues en Pologne ou Bulgarie, elle fait allusion à une capacité des veines qui s'appelle compliance. C'est à dire que les veines changent de volume en fonction du débit donc de la pression, d'ailleurs ma jugulaire externe droite est énorme puisqu'elle draine le sang de la partie gauche. Pour elle, lorsqu'ils ballonnent la pression augmente, la veine augmente, on peut ressentir des changements....mais puisque cette pression va redevenir normale la veine reprend son diamètre et les changements ressentis disparaissent.
Elle a de très bons contacts avec Zamboni depuis très longtemps, elle l'a même appelé ce week end parce qu'elle s'inquiète fortement des départs à l'étranger alors que ces diagnostics sont formels...et que les chiffres donnés par ces confrères sont pour le moins inquiétants.
Elle a obtenu d'excellents résultats pour des patients SEP qui avaient effectivement des sténoses et c'est donc une piste à poursuivre mais les chiffres sont loins d'être ceux affichés par les polonais ou bulgares. Pour elle on trompe les gens....On peut ballonner mais pour quels résultats après 3 mois???
G est une phlébologue qui a mis en place des protocoles d'observation et d'intervention sur les veines depuis 20 ans....et a pratiqué au moins 5000 interventions sur tout le système veineux. Elle est connue internationalement pour ses recherches sur les stases veineuses...et j'ai une grande confiance en elle.
Alors j'attends avec impatience Marie Pascale!!!!
Elle a confirmé l'absence de jugulaire externe gauche. Cette absence de jugulaire externe est fréquente et n'est pas grave, G elle-même n'a pas de jugulaire externe gauche.Je précise externe, car Marie Pascale qui n'en a pas à droite, dit qu'en Bulgarie ils lui ont trouvé, pour G oui mais c'est la jugulaire interne qui est toujours présente.
Sinon système veineux impeccable...Rien à faire et je la crois.
Lorsque je lui ai évoqué les statistiques obtenues en Pologne ou Bulgarie, elle fait allusion à une capacité des veines qui s'appelle compliance. C'est à dire que les veines changent de volume en fonction du débit donc de la pression, d'ailleurs ma jugulaire externe droite est énorme puisqu'elle draine le sang de la partie gauche. Pour elle, lorsqu'ils ballonnent la pression augmente, la veine augmente, on peut ressentir des changements....mais puisque cette pression va redevenir normale la veine reprend son diamètre et les changements ressentis disparaissent.
Elle a de très bons contacts avec Zamboni depuis très longtemps, elle l'a même appelé ce week end parce qu'elle s'inquiète fortement des départs à l'étranger alors que ces diagnostics sont formels...et que les chiffres donnés par ces confrères sont pour le moins inquiétants.
Elle a obtenu d'excellents résultats pour des patients SEP qui avaient effectivement des sténoses et c'est donc une piste à poursuivre mais les chiffres sont loins d'être ceux affichés par les polonais ou bulgares. Pour elle on trompe les gens....On peut ballonner mais pour quels résultats après 3 mois???
G est une phlébologue qui a mis en place des protocoles d'observation et d'intervention sur les veines depuis 20 ans....et a pratiqué au moins 5000 interventions sur tout le système veineux. Elle est connue internationalement pour ses recherches sur les stases veineuses...et j'ai une grande confiance en elle.
Alors j'attends avec impatience Marie Pascale!!!!
dane83- Messages : 1741
Date d'inscription : 02/05/2010
Age : 67
Localisation : la crau
- Message n°112
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
tant mieux mais on doit attendre 3mois pour voir ce que M/P aura??
Arnaud- Invité
- Message n°113
?
Il y a de nombreuses questions que je me pose. Quand je suis rentré pour la première fois dans le cabinet du docteur G que je respecte beaucoup. Elle m'a dit textuellement:
Avez vous vu votre cerveau par rapport à l'angio IRM le retour veineux se fait que sur la jugulaire droite, comùment voulez vous fonctionner correctement?
Ce qui contredit ce qu'elle a dit après, on peut vivre correctement sans une jugulaire.
Quelle est la vérité ?
En tout cas nous sommes tous dans le même bateau qui chavire et sans jugulaire par contre avec une sep.
Bonne soirée à tous
Arnaud
Avez vous vu votre cerveau par rapport à l'angio IRM le retour veineux se fait que sur la jugulaire droite, comùment voulez vous fonctionner correctement?
Ce qui contredit ce qu'elle a dit après, on peut vivre correctement sans une jugulaire.
Quelle est la vérité ?
En tout cas nous sommes tous dans le même bateau qui chavire et sans jugulaire par contre avec une sep.
Bonne soirée à tous
Arnaud
Domyleen- Messages : 7917
Date d'inscription : 29/04/2010
Localisation : Normandie
- Message n°114
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Bonsoir Arnaud;
Au fil des lectures sur le sujet( à la base, je n'y connais strictement rien, et je suis fâchée avec les termes médicaux), il m'a semblé comprendre que beaucoup de personnes vivent bien avec des sténoses et des malformations veineuses, sans aucun problème (pas de dépots de fer au cerveau, ou peu)!
Seulement voilà, nous, nous avons une SEP, et il se peut que les malformations et les sténoses , qui créent une insufisance céphalo-rachidienne, favorisent les dépots de fer , du fait que le sang "stagne", et du coup, fragilise les parois veineuses et laisse passer les (??? zut, j'sais plus ...) qui attaquent la barrière hémato-encéphalique.... Et, donc, dans ce cas (comme pour d'autres problèmes veineux), il n'existe qu'une solution .... la chirurgie! (c'est pratiqué pour certaines malformations, même congénitales, autour du coeur, des reins ou du foie , si c'est nécessaire...)
Mais beaucoup de personnes vivent avec des malformations veineuses sans aucun problème!
Enfin, c'est ce que j'ai cru comprendre....
izuba- Messages : 523
Date d'inscription : 28/04/2010
- Message n°115
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Comme je n'ai qu'une jugulaire externe, et qu'apparemment c'est assez courant,j'ai cherché et ai posté hier 2 docs que vous trouverez dans CCSVI "variations jugulaires". En fait oui c'est extrêmement courant.
Comme G n'a pas non plus de jugulaire externe gauche (véridique) et qu'elle va bien....et qu'elle dit justement que l'absence d'une jugulaire n'est pas grave puisque l'autre compense...Je me demande si on parle bien de la même G!
Comme G n'a pas non plus de jugulaire externe gauche (véridique) et qu'elle va bien....et qu'elle dit justement que l'absence d'une jugulaire n'est pas grave puisque l'autre compense...Je me demande si on parle bien de la même G!
Invité- Invité
- Message n°116
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Ou des mêmes jugulaires ? Ou des jugulaires de G ? J/G ? Les enchères sont ouvertes ! En tt cas MOI, MA Jugulaire ne leur a pas plu aux Drs bulgares, et comme elle ne leur a pas plu ils me l'ont débouchée, ms u're right, je ne sais pas c'est laquelle des 4. Rq, c'est un certain Dr Grozdinski qui officiait au Doppler, on n'a q'à l'appeler Dr G aussi et comme ça la boucle est bouclée : G contre G... Faudrait vraiment q'ils se rencontrent ces deux là ! En tt cas pr G, j'étais absolument sans intérêt, alors q G a trouvé q'il fallait me déboucher tt de suite.
Dernière édition par MPascale le Ven 9 Juil 2010 - 8:26, édité 2 fois
Jé- Messages : 337
Date d'inscription : 10/05/2010
- Message n°117
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Bonjour "izuba"
Désolé de lire que tu ne fasses pas partie des chanceux, comme beaucoup...AAaarff.
On y croyait tellement.
J'ai reçu 1 réponse du docteur Franz Schelling :
"Unfortunately, diagnostics and therapy are still in their infancy or, in many countries, rather in an embryonic respectively fetal state. Please find, in the addendum, a few suggestions on how matter might be improved. The question of whether looking for CCSVI does actually make sense can best be answered in looking at the cranial MRI."
Stade fœtal.Pas mal celle-là!
Jé
Désolé de lire que tu ne fasses pas partie des chanceux, comme beaucoup...AAaarff.
On y croyait tellement.
J'ai reçu 1 réponse du docteur Franz Schelling :
"Unfortunately, diagnostics and therapy are still in their infancy or, in many countries, rather in an embryonic respectively fetal state. Please find, in the addendum, a few suggestions on how matter might be improved. The question of whether looking for CCSVI does actually make sense can best be answered in looking at the cranial MRI."
Stade fœtal.Pas mal celle-là!
Jé
Domyleen- Messages : 7917
Date d'inscription : 29/04/2010
Localisation : Normandie
- Message n°118
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Ben oui, Jé, cette recherche en est encore à l'état ...embryonnaire! Cela fait à peine un an que nous en parlons en France! (et dct Schelling, cela fait plus de 30 ans qu'il avait émis cette hypothèse veineuse dans la sclérose en plaques... donc, il sait de quoi il parle... et, en plus, à cause de ça, il avait failli perdre son job .. °
Des recherches sont entreprises, c'est déjà un grand pas en avant!
Jé- Messages : 337
Date d'inscription : 10/05/2010
- Message n°119
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Si qqu veut profiter des contacts du doc Schelling:
jhazan10@hotmail.com
Avec plaisir
jhazan10@hotmail.com
Avec plaisir
Arnaud- Invité
- Message n°120
jugulaire debouchee?
MPascale,
J'ai lu l'ensemble des messages ... Si j'ai bien compris tu as eu une jugulaire débouchée par le docteur bulgare?
As tu senti des différences entre avant et après ?
Et que t'a t'il fait ? ballonet ou stent?
En espérant une reponse de ta part
Je te souhaite une bonne journee
Arnaud
joma2- Messages : 543
Date d'inscription : 02/05/2010
Localisation : Chez la dame de Haute Savoie
- Message n°121
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
Salut je,
Dit moi! le dr shelling mentionnent un addendum avec " few suggestions on how matter might be improved" dans son message!
C'est quoi? une piece jointe? Fais péter si c'est intéressent please ?
Dit moi! le dr shelling mentionnent un addendum avec " few suggestions on how matter might be improved" dans son message!
C'est quoi? une piece jointe? Fais péter si c'est intéressent please ?
Jé- Messages : 337
Date d'inscription : 10/05/2010
- Message n°122
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
T'es "fluent", à ce que je lis.
Je fais "Péter", en anglais ds le texte..afin que tt le monde en profite:D
C'est long....
CCSVI: How to diagnose and treat nervous affections attributable to a recurrence of violent venous flow inversions
Conventional understanding of chronic cerebrospinal venous insufficiency
In principle, the term chronic cerebrospinal venous insufficiency (CCSVI) simply points to the presence of critically narrowed passages in internal jugular veins and azygos vein, main channels of cranial and vertebral venous drainage. Immediate effect of any such hindrance to venous outflow is a damming up of blood in the venous periphery, engorging tributary vessels and flooding collateral veins. This venous congestion may be aggravated by a slowing down of the blood stream, referred to as stasis: lacking in nutrients and gorged with metabolic waste products, the venous periphery exudes liquids and even tiny spots of blood.
Less obvious consequences of CCSVI
A damming up of blood in jugular and azygos veins may yet also predispose to a another kind of deleterious events: Prevented from escaping toward the heart fast enough, the engorged veins’ content may be driven back in direction of brain or spinal canal during any form of jugular and azygos vein compression.
Such events appear the rather hazardous:
(1) The larger blood volumes are to be displaced in direction of the venous periphery;
(2) The higher the local rises in venous pressure;
(3) The longer blood is being driven back
(a) From neck veins into some part of the brain, or
(b) The more vehement larger volumes of it are being displaced from abdomen into especially lumbar spinal canal;
(4) The more the involved veins are already filled;
(5) The more, with right or left internal jugular vein, a separate cerebral drainage system, or also the spinal drainage system of the lumbar veins with or without azygos vein is exclusively being involved;
(6) The more strictly limited the involved cerebral venous drainage system’s peripheral territory’s, and
(7) The more easily walls and surroundings of veins of brain and spinal canal momentarily yield to a column of regurgitant blood.
As for factor (1) not just momentary or lasting hindrances of ordinary venous outflow from internal jugular and azygos veins come into play. At times enormous widening of especially lower parts of internal jugular veins may also unfavourably modify the course of events.
Regarding factor (2), we can note but the following:
During muscular exertion pressures attaining heights of 500 mm Hg are known to impact upon veins of the trunk – a value which may be far surpassed in all sorts of accidents.
The point, however, how far jugular or sub-occipital venous pressure can rise during moves or exertion of, and, in particular, external impacts upon the neck seems never to have been investigated into.
Not much more can be said in view of factor (3):
(a) The time span available for venous reflux into the skull - depending on the ongoing balancing of, on the one hand, differing venous pressures without and related venous and arterial pressures within not only the brain but the entire cranio-vertebral space is of crucial importance for the depth to which venous flow inversions may penetrate into a distinct venous territory of the brain.
(b) As for the duration of venous reflux into the spine, there exists merely anecdotal evidence from fluoroscopic observations of massive respiratory displacements of cerebrospinal fluid from lower into upper parts of the cranio-vertebral space within very short periods of time.
Regarding point (4) we must be aware of the fact that a substantial engorgement of internal jugular veins does by no means only occur with enduring organic obstructions. The extremely changeable positioning, extreme rotation, flexion or extension, of the head as against the chest has long been known to be able to dam up jugular veins as well.
In obstructions of the upper end of internal jugular veins it has to be kept in mind that large volumes of blood may be driven back, in direction of the brain, also from massively engorged collateral veins, i.e. in particular from suboccipital vein plexuses, via posterior or lateral condylar veins.
Remarkably little concern aroused point (5) (a), i.e. the fact that blood being driven back from (or via) either right or left internal jugular vein can selectively burden either the cortical or the inner venous drainage of the cerebrum. This despite the fact that anatomical variations of the confluence of sinuses predisposing to insufficient or missing levelling out of pressure gradients between inner and outer cerebral venous drainage system have often been described already in the 19th century AD. With completely split straight sinus, it is even possible that only left or right inner cerebral veins may be overburdened by flow inversions in the jugular vein of the same side.
(b) Enormous pressure gradients may be briefly built up between veins in the trunk, especially in the abdomen, and epidural veins of the lower end of the spinal canal. Here obstructions of the azygos vein may predispose to more massive venous shifts from outer lumbar veins into veins of the epidural space of the lumbar canal. Such a venous reflux can obviously be the more violent, the more external, and the less internal veins of the spinal canal are filled, the wider their connections between the former and the latter veins are, and the weaker a counter pressure against upward displacements of spinal subarachnoid fluid is being exerted in cranium and uppermost part of the spinal canal.
What appear of decisive importance is factor (6): The strictness of the limitation of the involved cerebral venous drainage system’s peripheral territory. If venous flow inversions in one internal jugular vein tend to exclusively or primarily overburden either superior sagittal sinus or straight sinus, veins of the latter obviously far more at risk: Individual tributary veins of the straight sinus tend to be directly and selectively burdened according to momentary pressure resistance of their vascular periphery while the often narrowed orifices of the cortical veins, in pointing to the superior sagittal sinus’ usually blind anterior end, tend to be burdened as a whole; apart from this, the cortical veins are rather interconnected in the form of a mesh, whose main channels often have access to extracranial veins at the base of the skull not being burdened by venous reflux.
The direct invasion of the straight sinus’ affluent veins underlines the significance of factor (7): The transmural pressures exerted along each venous affluent depend not only on configuration and distribution pattern of each of them; they are also greatly modified by venous and arterial counter pressures exerted on the part of the cortical vessels invading the local venous periphery – the perfusion of the latter being continually altered according to the activation of separate functional units of the brain. The lower the momentary local tissue pressure, the rather walls and surroundings of some branch of the Galenic vein will be unable to resist the impact of a column of regurgitant blood.
Thereby falling cerebral perfusion pressure, inspiratory, position or motion dependent emptying of even widely distant cerebral or epidural spinal veins may greatly enhance the risk for venous reflux to injurious degrees of venous reflux.
Brain and spinal cord damages to be effected in CCSVI
A superabundance of venous collateral channels usually ensures that even complete obliteration of both internal jugular veins does, of and by itself, not cause any lasting damage. In a stark contrast to this, obstructions of superior sagittal sinus (1) or straight sinus (2) typically result in pools of edema, dotted with hemorrhages, marking out the stasis-affected tissue domains. In the latter, histopathologically, potentially reversible demyelination prevails.
As for CCSVI, no systematic investigation into the way it affects brain and spinal cord has still been carried out. Venous obstructions as observed in CCSVI yet appear hardly ever capable of producing peripheral circulatory stasis. In keeping with this, the nervous affections seen in patients with CCSVI do not show the clinical pictures previously observed in severe cervical venous obstruction of any cause.
The most striking observation made in severe instances of CCSVI was in fact this one:
Forced expiration alone did suffice for inverting the direction of flow in inner cerebral veins pertaining to the straight sinus’ vascular territory (3). Lesions emerging in comparable distribution patterns could thus be expected to give evidence of comparable venous activities.
Under certain circumstances, any kind of muscular or outside compression of extracranial veins being engorged on account of obstructions in internal jugular veins can be expected to preferentially overburden veins in the straight sinus’ small, strictly confined venous domain: This in particular with a straight sinus being directly, just primarily or even exclusively, related to an obstructed internal jugular vein. More generally, however, the straight sinus’ tributary vessels are at a greater risk simply on account of their branching along, and radiating off into pulpy tissues bordering considerable volumes of, at times, most easily yielding cerebrospinal fluid where they are but confronted with a last ebbing out of any competing arterial pulsation.
Considering all this, it seems quite obvious that CCSVI-lesions cannot but first emerge about large subependymal veins next to spread along their most readily accessible affluent veins. Farther out, the neighbourhood of vascular bends and ramifications might be primarily at risk. In this way, compact, well delineated lesion cones and waves can be expected to arise from inner surfaces into the substance of the cerebral hemispheres, lying in line with later emerging peripheral plaques. All in all, this kind of CCSVI lesion spread ought to simply mark out where blood being driven back into the straight sinus’ vascular territory unduly burdened the involved veins’ walls and periphery.
Involved tissues would thus from time to time fall prey to fleeting concussions or blunt contusions exceeding from their veins’ content. Clinically, corresponding affections might be manifest but for seconds (concussion with slight intracellular disorganisation) or last up to months (traumatic demyelination). Incapacitations produced by severe contusions, ending up in neuronal or complete tissue destruction, however, were lasting for life.
Sheathed in a tough dural sac being encircled by a mesh of broadly interconnected veins, the spinal cord can hardly be invaded by a spread of venous excess pressures into its veins. Venous blood being driven back into especially the lower spinal canal may yet momentarily displace the mantle of cerebrospinal fluid embedding the cord, thereby taxing both the spinal cord’s surfaces and even more points and lines of insertion of the ligaments by which it is fixed to its sheaths.
Regarding the risk of venous flow inversions reaching injurious intensities, brain and spine may further be expected to differ in the following: The impact of a venous reflux invading the brain can be expected to increase with the degree of the involved venous pathways’ engorgement along especially also their intracranial course. Venous reflux into the spinal canal, on the other hand, will be the more vehement, the more copiously the veins outside and the poorer those inside the spinal canal have come to be filled.
Diagnostics of CCSVI
The process of CCSVI not simply depends upon the degree of stenosis affecting one or both internal jugular respectively the azygos vein. The ascertainment of individual predispositions to damaging flow inversions in definite venous pathways of brain and spinal cord accordingly requires beside a verification of the presence of extracranial to intracerebral or extra- to intraspinal veno-venous reflux, also a retracing of its individually differing source and course.
The conditions favouring larger volumes, higher pressures, and especially a greater vehemence and wider reach of venous flow inversions assailing brain and spinal cord thereby ought to become evident.
A tool being widely available and, as a consequence, preferentially employed for tracing an occurrence of, and certain preconditions to, flow inversions in veins of the neck is Duplex sonography. Suited for exploring valvular function and the configuration (stenosis, prestenotic dilatation) of internal jugular veins, Duplex scans lends themselves for an evaluation of the risk of venous reflux into and further up along the main extracranial pathways of the brain.
Transcranial colour-coded Doppler sonography, on the other hand, is unsurpassed in its ability to directly trace venous flow inversions within the skull. Its potential for discriminating predispositions to venous reflux into, on the one hand, straight sinus and, on the other, superior sagittal sinus has not been fully exploited as yet.
In the attempt at determining whether it is actually venous reflux that accounts for nervous and mental incapacitations which otherwise had to remain unexplained, cranial MRI cannot be done without. Repeated in short intervals, it allows even to monitor the bizarre ways in which lesions resulting from CCSVI are bound to advance and retreat.
As for the detection of spinal cord lesions attributable to CCSVI, routine MRI has unfortunately not yet attained the necessary sensitivity and specificity.
MRVs performed according to Haacke protocol are apt to render exact and comprehensive three-dimensional reconstructions of cervical and intracranial venous anatomy. In doing so, they may provide evidence of more or less complete separations between right and left-sided cervical venous drainage of the brain. Here the demonstration of a direct continuation of straight sinus into one (twice more often the left than right) lateral or also occipito-marginal sinus attains primary interest.
The most precise means for a sharp, detailed and comprehensive illustration of the route which such venous flow inversions may take is conventional selective venography.
As for the elucidation of CCSVI processes affecting the brain, expiratory retrograde jugularography (4) appears to be the most revealing tool.
In the attempt at tracing CCSVI processes affecting the spinal cord, conventional selective phlebography ought not be limited to the azygos vein. Especially in suspected CCSVI lesions of the lower spinal cord, the lumbar veins’ connections to both inferior cava vein and the epidural venous plexuses of the spinal canal need to be studied as well.
Prevention of damages resulting from CCSVI
If the development of lesions appearing characterized and emerging in the ways just described can be shown to be associated with individual predisposition to massive, intensive as well as far-reaching flow inversions in definite venous pathways of brain and spinal cord, such events need to be prevented by appropriate physical means.
This appears all the more urgent as a recurrence of flow inversions in any venous drainage system tends to stiffen its walls and to dilate the vascular channels being involved. In this way the process of CCSVI tends to become more and more dangerously intensified.
In severe instances, only well planned surgical interventions can be expected to reliably halt, or even prevent, otherwise relentlessly progressing neurological and mental incapacitations due to CCSVI.
Concrete therapeutic suggestions
As yet the treatment of CCSVI has been based upon dilating stenoses of internal jugular and azygos vein using balloon angioplasty. To counteract the high risk of restenosis, given mainly in the internal jugular vein owing to its collapse in sitting and standing position, balloon angioplasty has often been complemented by an implantation of stents. The latter procedure, nevertheless, has been discredited by the rare occurrence of stent migration. Neither can it completely eliminate the risk of restenosis, bound to bring in its wake new bouts of nervous and mental incapacitations attributable to CCSVI.
To more reliably prevent relapses of CCSVI attributable to reflux in or via internal jugular veins, open surgery, even valve transplants, seem advisable.
Especially in valvular incompetence of a right internal jugular vein bearing, more or less exclusively, the brunt of venous flow inversions in superior cava vein, valve transplants may prove the means of choice for preventing cerebral complications of CCSVI.
What might provide no less an effective protection against venous flow inversions pushing back via straight sinus into its affluent veins is perforating the thin dural septum or bridging a gap between straight and superior sagittal sinus preventing the levelling out of higher pressure gradients between the two sinus’ affluent veins.
Owing the greater complexity of the venous systems being involved in the development of CCSV lesions of the spinal cord, correcting the underlying venous preconditions is unavoidably more time-consuming and difficult.
Conclusion
Well planned, and carefully performed, surgical interventions intended to correct flow inversions in internal jugular, azygos, as well as lumbar veins can be expected, without any particular risks, to put an end to repeated bouts of cerebral and more continuous progression of spinal incapacitations resulting from veno-venous reflux into the craniovertebral space.
The procedures have accordingly been stated to meet the legal, moral and scientific criteria specified by concerned organisations, including the World Health Organisation.
The fact that patients suffering from CCSVI tend to be classified, from the standpoint of neurology, as instances of multiple sclerosis (MS), should not surprise on account of the following:
(1) Regarding the pathomechanisms being indicated above, CCSVI must be expected to usually comply with the clinical criteria underlying the neurological diagnosis of MS.
(2) The cerebrospinal fluid oligoclonal bands considered as the most important laboratory finding supporting the clinical diagnosis of MS are also observed in traumatic and vascular affections of brain and spinal cord (5). On this account we are also bound to expect a development of oligclonal band in spinal and cerebral affections caused by CCSVI.
(3) Both at post mortem and on MRI, findings which indubitably reflect - not only regarding their location, but also in their form as well as manner and pattern of spread - the kind of lesions that must be expected in CCSVI, have consistently been presented as typical, even specific lesion pictures of MS (6, 7, 8, 9, 10, 11, 12).
References
(1) Huang P ea: Successful treatment of cerebral venous thrombosis associated with bilateral internal vein stenosis using direct thrombolysis and stenting: A case report. Kaohsiung J Med Sci 2005; 21: 527-31
(2) Bernstein R, Futterer S: Venous unresponsiveness. Lancet 2004; 363: 368.
(3) Zamboni P ea: Intracranial venous haemodynamics in multiple sclerosis. Current neurovasc res 2007; 4: 252-8.
(4) Gejrot T, Lindbom A: Venography of the Internal Jugular Vein and the Transverse Sinuses (Retrograde Jugularography). Acta Oto-Laryngol 1960; 52(S158-6): 180-6
(5) Cohen O, Biran I, Steiner I: Cerebrospinal fluid oligoclonal bands in patients with spinal arteriovenous malformation and structural central nervous system lesions. Arch Neurol 2000: 57: 553-7.
(6) Charcot JM: Leçons sur les maladies du système nerveux, 5th ed, vol. I, pp. 189-272, Plates VII, VIII. Paris, Delahaye 1884
(7) Ordenstein L: Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisée, pp 49-81, Plate II. Paris, Martinet, 1867
( Young IR ea: Nuclear magnetic resonance imaging of the brain in multiple sclerosis. Lancet 1981; II: 1063-6
(9) Johnson MA ea: Magnetic resonance imaging: Serial observations in multiple sclerosis. AJNR 1984; 5: 495-8
(10) Isaac C ea: Multiple sclerosis: A serial study using MRI in relapsing patients. Neurology 1988; 38: 1511-5
(11) Koopmans RA ea: The lesion of multiple sclerosis: Imaging of acute and chronic stages. Neurology 1989; 39: 959-63
(12) Yetkin FZ: Multiple sclerosis: Specificity of MR for diagnosis. Radiology 1991; 178: 447-51
Je fais "Péter", en anglais ds le texte..afin que tt le monde en profite:D
C'est long....
CCSVI: How to diagnose and treat nervous affections attributable to a recurrence of violent venous flow inversions
Conventional understanding of chronic cerebrospinal venous insufficiency
In principle, the term chronic cerebrospinal venous insufficiency (CCSVI) simply points to the presence of critically narrowed passages in internal jugular veins and azygos vein, main channels of cranial and vertebral venous drainage. Immediate effect of any such hindrance to venous outflow is a damming up of blood in the venous periphery, engorging tributary vessels and flooding collateral veins. This venous congestion may be aggravated by a slowing down of the blood stream, referred to as stasis: lacking in nutrients and gorged with metabolic waste products, the venous periphery exudes liquids and even tiny spots of blood.
Less obvious consequences of CCSVI
A damming up of blood in jugular and azygos veins may yet also predispose to a another kind of deleterious events: Prevented from escaping toward the heart fast enough, the engorged veins’ content may be driven back in direction of brain or spinal canal during any form of jugular and azygos vein compression.
Such events appear the rather hazardous:
(1) The larger blood volumes are to be displaced in direction of the venous periphery;
(2) The higher the local rises in venous pressure;
(3) The longer blood is being driven back
(a) From neck veins into some part of the brain, or
(b) The more vehement larger volumes of it are being displaced from abdomen into especially lumbar spinal canal;
(4) The more the involved veins are already filled;
(5) The more, with right or left internal jugular vein, a separate cerebral drainage system, or also the spinal drainage system of the lumbar veins with or without azygos vein is exclusively being involved;
(6) The more strictly limited the involved cerebral venous drainage system’s peripheral territory’s, and
(7) The more easily walls and surroundings of veins of brain and spinal canal momentarily yield to a column of regurgitant blood.
As for factor (1) not just momentary or lasting hindrances of ordinary venous outflow from internal jugular and azygos veins come into play. At times enormous widening of especially lower parts of internal jugular veins may also unfavourably modify the course of events.
Regarding factor (2), we can note but the following:
During muscular exertion pressures attaining heights of 500 mm Hg are known to impact upon veins of the trunk – a value which may be far surpassed in all sorts of accidents.
The point, however, how far jugular or sub-occipital venous pressure can rise during moves or exertion of, and, in particular, external impacts upon the neck seems never to have been investigated into.
Not much more can be said in view of factor (3):
(a) The time span available for venous reflux into the skull - depending on the ongoing balancing of, on the one hand, differing venous pressures without and related venous and arterial pressures within not only the brain but the entire cranio-vertebral space is of crucial importance for the depth to which venous flow inversions may penetrate into a distinct venous territory of the brain.
(b) As for the duration of venous reflux into the spine, there exists merely anecdotal evidence from fluoroscopic observations of massive respiratory displacements of cerebrospinal fluid from lower into upper parts of the cranio-vertebral space within very short periods of time.
Regarding point (4) we must be aware of the fact that a substantial engorgement of internal jugular veins does by no means only occur with enduring organic obstructions. The extremely changeable positioning, extreme rotation, flexion or extension, of the head as against the chest has long been known to be able to dam up jugular veins as well.
In obstructions of the upper end of internal jugular veins it has to be kept in mind that large volumes of blood may be driven back, in direction of the brain, also from massively engorged collateral veins, i.e. in particular from suboccipital vein plexuses, via posterior or lateral condylar veins.
Remarkably little concern aroused point (5) (a), i.e. the fact that blood being driven back from (or via) either right or left internal jugular vein can selectively burden either the cortical or the inner venous drainage of the cerebrum. This despite the fact that anatomical variations of the confluence of sinuses predisposing to insufficient or missing levelling out of pressure gradients between inner and outer cerebral venous drainage system have often been described already in the 19th century AD. With completely split straight sinus, it is even possible that only left or right inner cerebral veins may be overburdened by flow inversions in the jugular vein of the same side.
(b) Enormous pressure gradients may be briefly built up between veins in the trunk, especially in the abdomen, and epidural veins of the lower end of the spinal canal. Here obstructions of the azygos vein may predispose to more massive venous shifts from outer lumbar veins into veins of the epidural space of the lumbar canal. Such a venous reflux can obviously be the more violent, the more external, and the less internal veins of the spinal canal are filled, the wider their connections between the former and the latter veins are, and the weaker a counter pressure against upward displacements of spinal subarachnoid fluid is being exerted in cranium and uppermost part of the spinal canal.
What appear of decisive importance is factor (6): The strictness of the limitation of the involved cerebral venous drainage system’s peripheral territory. If venous flow inversions in one internal jugular vein tend to exclusively or primarily overburden either superior sagittal sinus or straight sinus, veins of the latter obviously far more at risk: Individual tributary veins of the straight sinus tend to be directly and selectively burdened according to momentary pressure resistance of their vascular periphery while the often narrowed orifices of the cortical veins, in pointing to the superior sagittal sinus’ usually blind anterior end, tend to be burdened as a whole; apart from this, the cortical veins are rather interconnected in the form of a mesh, whose main channels often have access to extracranial veins at the base of the skull not being burdened by venous reflux.
The direct invasion of the straight sinus’ affluent veins underlines the significance of factor (7): The transmural pressures exerted along each venous affluent depend not only on configuration and distribution pattern of each of them; they are also greatly modified by venous and arterial counter pressures exerted on the part of the cortical vessels invading the local venous periphery – the perfusion of the latter being continually altered according to the activation of separate functional units of the brain. The lower the momentary local tissue pressure, the rather walls and surroundings of some branch of the Galenic vein will be unable to resist the impact of a column of regurgitant blood.
Thereby falling cerebral perfusion pressure, inspiratory, position or motion dependent emptying of even widely distant cerebral or epidural spinal veins may greatly enhance the risk for venous reflux to injurious degrees of venous reflux.
Brain and spinal cord damages to be effected in CCSVI
A superabundance of venous collateral channels usually ensures that even complete obliteration of both internal jugular veins does, of and by itself, not cause any lasting damage. In a stark contrast to this, obstructions of superior sagittal sinus (1) or straight sinus (2) typically result in pools of edema, dotted with hemorrhages, marking out the stasis-affected tissue domains. In the latter, histopathologically, potentially reversible demyelination prevails.
As for CCSVI, no systematic investigation into the way it affects brain and spinal cord has still been carried out. Venous obstructions as observed in CCSVI yet appear hardly ever capable of producing peripheral circulatory stasis. In keeping with this, the nervous affections seen in patients with CCSVI do not show the clinical pictures previously observed in severe cervical venous obstruction of any cause.
The most striking observation made in severe instances of CCSVI was in fact this one:
Forced expiration alone did suffice for inverting the direction of flow in inner cerebral veins pertaining to the straight sinus’ vascular territory (3). Lesions emerging in comparable distribution patterns could thus be expected to give evidence of comparable venous activities.
Under certain circumstances, any kind of muscular or outside compression of extracranial veins being engorged on account of obstructions in internal jugular veins can be expected to preferentially overburden veins in the straight sinus’ small, strictly confined venous domain: This in particular with a straight sinus being directly, just primarily or even exclusively, related to an obstructed internal jugular vein. More generally, however, the straight sinus’ tributary vessels are at a greater risk simply on account of their branching along, and radiating off into pulpy tissues bordering considerable volumes of, at times, most easily yielding cerebrospinal fluid where they are but confronted with a last ebbing out of any competing arterial pulsation.
Considering all this, it seems quite obvious that CCSVI-lesions cannot but first emerge about large subependymal veins next to spread along their most readily accessible affluent veins. Farther out, the neighbourhood of vascular bends and ramifications might be primarily at risk. In this way, compact, well delineated lesion cones and waves can be expected to arise from inner surfaces into the substance of the cerebral hemispheres, lying in line with later emerging peripheral plaques. All in all, this kind of CCSVI lesion spread ought to simply mark out where blood being driven back into the straight sinus’ vascular territory unduly burdened the involved veins’ walls and periphery.
Involved tissues would thus from time to time fall prey to fleeting concussions or blunt contusions exceeding from their veins’ content. Clinically, corresponding affections might be manifest but for seconds (concussion with slight intracellular disorganisation) or last up to months (traumatic demyelination). Incapacitations produced by severe contusions, ending up in neuronal or complete tissue destruction, however, were lasting for life.
Sheathed in a tough dural sac being encircled by a mesh of broadly interconnected veins, the spinal cord can hardly be invaded by a spread of venous excess pressures into its veins. Venous blood being driven back into especially the lower spinal canal may yet momentarily displace the mantle of cerebrospinal fluid embedding the cord, thereby taxing both the spinal cord’s surfaces and even more points and lines of insertion of the ligaments by which it is fixed to its sheaths.
Regarding the risk of venous flow inversions reaching injurious intensities, brain and spine may further be expected to differ in the following: The impact of a venous reflux invading the brain can be expected to increase with the degree of the involved venous pathways’ engorgement along especially also their intracranial course. Venous reflux into the spinal canal, on the other hand, will be the more vehement, the more copiously the veins outside and the poorer those inside the spinal canal have come to be filled.
Diagnostics of CCSVI
The process of CCSVI not simply depends upon the degree of stenosis affecting one or both internal jugular respectively the azygos vein. The ascertainment of individual predispositions to damaging flow inversions in definite venous pathways of brain and spinal cord accordingly requires beside a verification of the presence of extracranial to intracerebral or extra- to intraspinal veno-venous reflux, also a retracing of its individually differing source and course.
The conditions favouring larger volumes, higher pressures, and especially a greater vehemence and wider reach of venous flow inversions assailing brain and spinal cord thereby ought to become evident.
A tool being widely available and, as a consequence, preferentially employed for tracing an occurrence of, and certain preconditions to, flow inversions in veins of the neck is Duplex sonography. Suited for exploring valvular function and the configuration (stenosis, prestenotic dilatation) of internal jugular veins, Duplex scans lends themselves for an evaluation of the risk of venous reflux into and further up along the main extracranial pathways of the brain.
Transcranial colour-coded Doppler sonography, on the other hand, is unsurpassed in its ability to directly trace venous flow inversions within the skull. Its potential for discriminating predispositions to venous reflux into, on the one hand, straight sinus and, on the other, superior sagittal sinus has not been fully exploited as yet.
In the attempt at determining whether it is actually venous reflux that accounts for nervous and mental incapacitations which otherwise had to remain unexplained, cranial MRI cannot be done without. Repeated in short intervals, it allows even to monitor the bizarre ways in which lesions resulting from CCSVI are bound to advance and retreat.
As for the detection of spinal cord lesions attributable to CCSVI, routine MRI has unfortunately not yet attained the necessary sensitivity and specificity.
MRVs performed according to Haacke protocol are apt to render exact and comprehensive three-dimensional reconstructions of cervical and intracranial venous anatomy. In doing so, they may provide evidence of more or less complete separations between right and left-sided cervical venous drainage of the brain. Here the demonstration of a direct continuation of straight sinus into one (twice more often the left than right) lateral or also occipito-marginal sinus attains primary interest.
The most precise means for a sharp, detailed and comprehensive illustration of the route which such venous flow inversions may take is conventional selective venography.
As for the elucidation of CCSVI processes affecting the brain, expiratory retrograde jugularography (4) appears to be the most revealing tool.
In the attempt at tracing CCSVI processes affecting the spinal cord, conventional selective phlebography ought not be limited to the azygos vein. Especially in suspected CCSVI lesions of the lower spinal cord, the lumbar veins’ connections to both inferior cava vein and the epidural venous plexuses of the spinal canal need to be studied as well.
Prevention of damages resulting from CCSVI
If the development of lesions appearing characterized and emerging in the ways just described can be shown to be associated with individual predisposition to massive, intensive as well as far-reaching flow inversions in definite venous pathways of brain and spinal cord, such events need to be prevented by appropriate physical means.
This appears all the more urgent as a recurrence of flow inversions in any venous drainage system tends to stiffen its walls and to dilate the vascular channels being involved. In this way the process of CCSVI tends to become more and more dangerously intensified.
In severe instances, only well planned surgical interventions can be expected to reliably halt, or even prevent, otherwise relentlessly progressing neurological and mental incapacitations due to CCSVI.
Concrete therapeutic suggestions
As yet the treatment of CCSVI has been based upon dilating stenoses of internal jugular and azygos vein using balloon angioplasty. To counteract the high risk of restenosis, given mainly in the internal jugular vein owing to its collapse in sitting and standing position, balloon angioplasty has often been complemented by an implantation of stents. The latter procedure, nevertheless, has been discredited by the rare occurrence of stent migration. Neither can it completely eliminate the risk of restenosis, bound to bring in its wake new bouts of nervous and mental incapacitations attributable to CCSVI.
To more reliably prevent relapses of CCSVI attributable to reflux in or via internal jugular veins, open surgery, even valve transplants, seem advisable.
Especially in valvular incompetence of a right internal jugular vein bearing, more or less exclusively, the brunt of venous flow inversions in superior cava vein, valve transplants may prove the means of choice for preventing cerebral complications of CCSVI.
What might provide no less an effective protection against venous flow inversions pushing back via straight sinus into its affluent veins is perforating the thin dural septum or bridging a gap between straight and superior sagittal sinus preventing the levelling out of higher pressure gradients between the two sinus’ affluent veins.
Owing the greater complexity of the venous systems being involved in the development of CCSV lesions of the spinal cord, correcting the underlying venous preconditions is unavoidably more time-consuming and difficult.
Conclusion
Well planned, and carefully performed, surgical interventions intended to correct flow inversions in internal jugular, azygos, as well as lumbar veins can be expected, without any particular risks, to put an end to repeated bouts of cerebral and more continuous progression of spinal incapacitations resulting from veno-venous reflux into the craniovertebral space.
The procedures have accordingly been stated to meet the legal, moral and scientific criteria specified by concerned organisations, including the World Health Organisation.
The fact that patients suffering from CCSVI tend to be classified, from the standpoint of neurology, as instances of multiple sclerosis (MS), should not surprise on account of the following:
(1) Regarding the pathomechanisms being indicated above, CCSVI must be expected to usually comply with the clinical criteria underlying the neurological diagnosis of MS.
(2) The cerebrospinal fluid oligoclonal bands considered as the most important laboratory finding supporting the clinical diagnosis of MS are also observed in traumatic and vascular affections of brain and spinal cord (5). On this account we are also bound to expect a development of oligclonal band in spinal and cerebral affections caused by CCSVI.
(3) Both at post mortem and on MRI, findings which indubitably reflect - not only regarding their location, but also in their form as well as manner and pattern of spread - the kind of lesions that must be expected in CCSVI, have consistently been presented as typical, even specific lesion pictures of MS (6, 7, 8, 9, 10, 11, 12).
References
(1) Huang P ea: Successful treatment of cerebral venous thrombosis associated with bilateral internal vein stenosis using direct thrombolysis and stenting: A case report. Kaohsiung J Med Sci 2005; 21: 527-31
(2) Bernstein R, Futterer S: Venous unresponsiveness. Lancet 2004; 363: 368.
(3) Zamboni P ea: Intracranial venous haemodynamics in multiple sclerosis. Current neurovasc res 2007; 4: 252-8.
(4) Gejrot T, Lindbom A: Venography of the Internal Jugular Vein and the Transverse Sinuses (Retrograde Jugularography). Acta Oto-Laryngol 1960; 52(S158-6): 180-6
(5) Cohen O, Biran I, Steiner I: Cerebrospinal fluid oligoclonal bands in patients with spinal arteriovenous malformation and structural central nervous system lesions. Arch Neurol 2000: 57: 553-7.
(6) Charcot JM: Leçons sur les maladies du système nerveux, 5th ed, vol. I, pp. 189-272, Plates VII, VIII. Paris, Delahaye 1884
(7) Ordenstein L: Sur la paralysie agitante et la sclérose en plaques généralisée, pp 49-81, Plate II. Paris, Martinet, 1867
( Young IR ea: Nuclear magnetic resonance imaging of the brain in multiple sclerosis. Lancet 1981; II: 1063-6
(9) Johnson MA ea: Magnetic resonance imaging: Serial observations in multiple sclerosis. AJNR 1984; 5: 495-8
(10) Isaac C ea: Multiple sclerosis: A serial study using MRI in relapsing patients. Neurology 1988; 38: 1511-5
(11) Koopmans RA ea: The lesion of multiple sclerosis: Imaging of acute and chronic stages. Neurology 1989; 39: 959-63
(12) Yetkin FZ: Multiple sclerosis: Specificity of MR for diagnosis. Radiology 1991; 178: 447-51
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traduction
j ai utilisee google
En principe, le terme insuffisance chronique veineuse
céphalo-rachidien (CCSVI) simplement des points à la présence de
passages critique réduit dans les veines jugulaires internes et la veine
azygos, les principales voies de drainage veineux du crâne et des
vertèbres. Effetimmédiat de toute entrave à ces drainage veineux est un barrage du sang veineux dans la périphérie, engorgées navires affluent et les inondations veines collatérales. Cette congestion veineuse peut être aggravée par un ralentissement de la
circulation sanguine, dénommé stase: manque de nutriments et gorgés de produits de déchets métaboliques, les liquides veineuse respire périphérie et même de minuscules taches de sang.
Moins conséquences évidentes du CCSVI
Un barrage du sang dans les veines jugulaires et
azygos peut encore aussi prédisposer à un type d'événements délétères d'un autre: empêchés de s'échapper vers le cœur assez rapide, le contenu des veines gorgées »peut être repoussés en direction du cerveau ou canal rachidien au cours de toute forme de compression de la veine jugulaire et azygos.
Ces événements semblent plutôt les dangereux:
(1) Les volumes de sang sont plus à se déplacer en
direction de la périphérie veineuse;
(2) la hausse de la pression veineuse locale;
(3) Le sang est plus repoussé (A) du cou de veines dans une certaine partie du cerveau, ou (B) Les volumes plus véhément plus de celui-ci sont chassés de l'abdomen en particulier du canal rachidien lombaire;
(4) Le plus les veines concernées sont déjà remplis;
(5) Le plus, avec droite ou à gauche la veine jugulaire interne, un système de drainage distinctes cérébrale, ou encore le système de drainage de la colonne vertébrale les veines lombaires avec ou sans veine azygos est exclusivement être impliqués;
(6) Le plus strictement limité le système cérébral impliqué drainage veineux périphériques du territoire, et
(7) Le plus facilement les murs et les environs de
veines du cerveau et du canal rachidien momentanément céder à une
colonne de sang de régurgitation.
Comme pour le facteur (1) non seulement momentanée ou
durable obstacles du débit veineux ordinaire de veines jugulaires
internes et azygos entrent en jeu. Parfois, l'élargissement considérable de pièces, en particulier inférieure de veines jugulaires internes peuvent également modifier défavorablement le cours des événements. En ce qui concerne facteur (2), mais nous pouvons
noter ce qui suit:Au cours de pressions effort musculaire atteindre des hauteurs de 500 mm Hg sont connus pour avoir une incidence sur les veines du tronc - une valeur qui peut être largement dépassé dans tous les types d'accidents. Le point, cependant, dans quelle mesure jugulaire ou sous-occipitale de la pression veineuse peut augmenter lors des déplacements ou des efforts, et, en particulier, les effets externes sur le col ne semble jamais avoir été étudié en.
Pas beaucoup plus peut-on dire, compte tenu du facteur (3): (A) Le laps de temps disponible pour le reflux veineux.dans le crâne - en fonction de l'équilibre en cours de, d'une part, différentes pressions veineuses et les pressions associées sans veineuse et artérielle non seulement dans le cerveau, mais tout l'espace cranio-vertébrale est de une importance cruciale pour la profondeur à laquelle inversions du flux veineux peut pénétrer dans un territoire distinct veineuse du cerveau.(B) En ce qui concerne la durée du reflux veineux dans la colonne vertébrale, il existe des preuves anecdotiques seulement à partir des observations de la radioscopie des déplacements massifs des voies respiratoires du liquide céphalo-rachidien de la baisse dans les parties supérieures de l'espace cranio-vertébrale dans les périodes de temps très court.
Concernant le point (4) nous devons être conscients du fait que un engorgement important de veines jugulaires internes ne en
aucun cas se produisent uniquement avec durables obstructions
organiques. Le positionnement extrêmement variable, la rotation des extrêmes, flexion ou en extension, de la tête contre la poitrine est connu depuis longtemps pour être en mesure d'endiguer les veines jugulaires ainsi. Dans les obstructions de l'extrémité supérieure des
veines jugulaires internes, il faut garder à l'esprit que de grandes
quantités de sang peuvent être repoussés en direction du cerveau,
également de veines collatérales massivement engorgé, c'est à dire en particulier de la veine sous-occipitale plexus, via postérieure ou
latéral veines condyliennes. Remarquablement peu soucieux point soulevé (5) (a), à savoir le fait que le sang est refoulé à partir de (ou via) soit à droite ou à gauche la veine jugulaire interne peut sélectivement charge soit la corticale ou le drainage veineux intérieur du cerveau. Ceci malgré le fait que les variations anatomiques de la confluence des sinus de prédisposition à l'insuffisance ou de manque de mise à niveau des gradients de pression entre intérieur et extérieur du système de drainage veineux cérébral ont souvent été décrit déjà dans le 19e siècle de notre ère. Avec complètement divisée
sinus droit, il est même possible que seule la gauche ou la droite
intérieure veines cérébrales peut être surchargé par des inversions de
flux dans la veine jugulaire du même côté. (B) les gradients de pression énorme peut être brièvement construit entre les nervures dans le tronc, en particulier dans l'abdomen, et les veines épidurales de l'extrémité inférieure du canal rachidien. Voici les obstructions de la veine azygos peut prédisposer à des changements plu massive veineux des veines lombaires extérieure dans les veines de l'espace épidural du canal lombaire. Un tel reflux veineux peut évidemment être la plus violente, la plus externe, et les veines moins interne du canal rachidien sont remplis, l'ensemble de leurs connexions entre l'ancienne et les veines ne sont, et le plus faible contre une contre-pression à la hausse des déplacements épinière liquide sous-arachnoïdien est exercée dans le crâne et la partie supérieure du canal rachidien. Ce qui semble d'une importance décisive est un facteur (6): La rigueur de la limitation du territoire périphérique du système cérébral impliqué drainage veineux est. Si inversions de flux veineux dans la veine jugulaire interne ont tendance à surcharger exclusivement ou principalement, soit supérieure du sinus sagittal ou sinus droit, les veines de ceux-ci étant beaucoup plus à risque: Individuel veines affluent du sinus droit ont tendance à être directement et de manière sélective en fonction de fardeau momentanée résistance à la pression de leur périphérie vasculaires alors que les orifices souvent réduite des veines corticales, en pointant vers la fin du sinus sagittal supérieur »antérieure souvent aveugles, ont tendance à être chargés dans son ensemble; à part cela, les veines corticales sont plutôt reliés entre eux sous la forme d'un maillage, dont les principales chaînes de télévision ont souvent accès à des veines extracrâniennes à la base du crâne ne sont pas accablés par le reflux veineux.
L'invasion directe du sinus droit «riches veines
souligne l'importance du facteur (7): Les pressions exercées le long de chaque transmurale veineuse riches ne dépendent pas seulement de la configuration et le mode de distribution de chacune d'elles, elles sont également fortement modifié par contre veineux et artériels pressions exercées sur la partie corticale des navires envahissent la périphérie locale veineuse - la perfusion de cette dernière étant sans cesse modifiées en fonction de l'activation des entités fonctionnelles du cerveau. La baisse de la pression tissulaire locale momentanée, les murs et les environs plutôt d'une branche de la veine galénique sera incapable de résister à l'impact d'une colonne de sang de régurgitation. vidant ainsi la pression baisse de perfusion
cérébrale, d'inspiration, la position ou le mouvement de charge, même très éloignés cérébrale ou spinale péridurale veines peuvent
considérablement accroître le risque de reflux veineux, à des degrés
préjudiciables du reflux veineux.
Cerveau et la moelle épinière des dommages-intérêts doit être effectué en CCSVI
Une surabondance de canaux collatéraux veineux assure
habituellement que même oblitération complète des deux veines jugulaires internes ne, de et par lui-même, ne causera aucun dommage durable.
Dans un contraste saisissant avec la présente, les obstructions des sinus sagittal supérieur (1) ou sinus droit (2) se traduisent généralement par de l'œdème dans les piscines, parsemée hémorragies, le marquage sur les domaines touchés par les tissus de stase. Dans ce dernier cas, histopathologique, démyélinisation potentiellement réversible prévaut.
En ce qui concerne CCSVI, aucune enquête systématique
sur la façon dont elle affecte le cerveau et la moelle épinière a
encore été réalisée. obstructions veineuses observées dans CCSVI encore semblent guère capables de produire des périphériques stase circulatoire. Dans cet esprit, les affections nerveuses observée
chez les patients avec CCSVI ne montrent pas les tableaux cliniques
sévères observés précédemment dans l'obstruction veineuse col de
l'utérus d'une autre cause. L'observation la plus frappante dans les cas graves faits de CCSVI était en fait celle-ci:
Expiration forcée seul ne suffit pas pour inverser le
sens de circulation dans l'intérieur des veines cérébrales concernant
le sinus droit «territoire (vasculaires 3). Les lésions apparaissent
dans les modes de distribution comparable pourrait donc s'attendre à
témoigner des activités comparables veineuse.
Dans certaines circonstances, n'importe quel type de compression musculaire ou à l'extérieur des veines extracrâniennes sont engorgés en raison des obstructions dans les veines jugulaires internes on peut s'attendre à des morts-terrains de préférence dans les veines du sinus droit «petit, strictement limités domaine veineuse: Ce en particulier avec un sinus droit étant directement, juste essentiellement, voire exclusivement, liée à une veine obstruée jugulaire interne. Plus généralement, toutefois, les navires affluent le sinus droit sont à un plus grand risque tout simplement en raison de leur ramification le long et au large de la membrane dans les tissus pulpeuse en bordure des volumes considérables de, parfois, le liquide céphalo-rachidien céder plus facilement là où ils sont, mais confrontés à un Dernière
descendante de tout pulsations artérielles concurrents.
Considérant tout cela, il semble évident que CCSVI-lésions ne peuvent pas, mais apparaissent d'abord sur de grandes veines sous-épendymaires à côté de la propagation le long de leurs veines les plus accessibles riches. Plus loin, le quartier des coudes et des ramifications vasculaires pourraient être les plus exposés. De cette façon, compact, cônes lésion bien délimitée et les vagues peuvent être attendus de surfaces intérieures dans la substance des hémisphères cérébraux, le mensonge en ligne avec tard émergents plaques périphériques. Dans l'ensemble, ce type de propagation lésion CCSVI doit simplement marquer où le sang est refoulé vers les sinus droit «territoire vasculaire fardeau trop lourd murs des veines en cause» et la périphérie. tissus concernés serait donc de temps en temps la proie de commotions passagères ou contusions contondant supérieure du contenu de leurs veines. Cliniquement,les affections correspondantes pourraient se manifester, mais pour les
secondes (commotion cérébrale à la désorganisation intracellulaire
légère) ou durer jusqu'à mois (démyélinisation traumatique). Incapacitations produites par des contusions graves, aboutissant à la destruction tissu neuronal ou complète, cependant, ont une durée de vie.Gainé dans un sac dural difficile d'être entouré par
un maillage de veines largement interconnectés, la moelle épinière ne peut guère être envahie par une propagation de l'excès de pression veineuse dans ses veines. Le sang veineux étant refoulés dans en particulier le canal inférieur épinière peut encore momentanément déplacer le manteau de liquide céphalo-rachidien enrobage du cordon, ce qui imposition surfaces à la fois de la moelle épinière et encore plus de points et de lignes d'insertion des ligaments par laquelle il est fixé à ses gaines .
En ce qui concerne le risque d'inversions de flux veineux atteindre des intensités préjudiciable, le cerveau et la colonne vertébrale peut en outre s'attendre à différer dans le texte suivant: L'impact d'un reflux veineux envahir le cerveau peut s'attendre à une augmentation du degré d'engorgement des voies impliquées veineuse "long
en particulier également leur cours intracrânienne. reflux veineux dans le canal rachidien, d'autre part, sera le plus véhément, plus copieusement les veines à l'extérieur et les pauvres plus ceux de l'intérieur du canal rachidien en sont venus à être remplis.
Diagnostics de CCSVI
Le processus de CCSVI ne dépend pas simplement du
degré de sténose affectant un ou deux jugulaire interne, respectivement,la veine azygos. La détermination des prédispositions individuelles à des inversions de flux
en définitive préjudiciable voies veineuses du cerveau et la moelle
épinière exige en conséquence de près d'une vérification de la présence d'extra à intracérébrale ou extra-au reflux veineux intrarachidien veino-, également un de ses retraçant individuellement différentes sources et cours .
Les conditions favorisant les grands volumes, des pressions plus élevées, et surtout une plus grande véhémence et une plus large portée des inversions de flux veineux assaillir le cerveau et la moelle épinière ainsi doit devenir évidente.
Un outil largement disponibles et, en conséquence, de
préférence employée pour tracer un événement, et certains conditions préalables à l', des inversions de flux dans les veines du cou est l'échographie Duplex. Idéal pour découvrir la fonction valvulaire et de la configuration (sténose, dilatation prestenotic) des veines jugulaires internes, scans Duplex se prête à une évaluation du risque de reflux veineux dans le long et plus haut les principales voies extracrânienne du cerveau. Transcrânienne
couleur Doppler, d'autre part, est inégalé dans sa capacité à retracer
directement inversions de flux veineux à l'intérieur du crâne. Son potentiel de discrimination des prédispositions au reflux veineux dans, d'une part, du sinus droit et, d'autre part, du sinus sagittal supérieur n'a pas été pleinement exploité jusqu'à présent.
Dans la tentative de déterminer si elle est effectivement reflux veineux qui représente incapacitations nerveux et mentaux qui, autrement, devait rester inexpliqué, IRM cérébrale ne peut se faire sans. Répétées à intervalles rapprochés, il permet même de contrôler la façon bizarre dont les lésions résultant de CCSVI sont liés à l'avance et de recul. En ce qui concerne la détection des lésions de la
moelle épinière attribuable à CCSVI, IRM de routine n'a malheureusement pas encore atteint la sensibilité et la spécificité nécessaire. MRV effectué conformément au protocole de Haacke sont de nature à rendre exactes et complètes reconstructions en trois
dimensions de l'anatomie veineuse cervicale et intracrânienne. Ce faisant, ils peuvent fournir la preuve de séparations plus ou moins complète entre le droit et côté gauche drainage veineux du col du cerveau. Voici la démonstration d'une continuation directe du sinus droit en un seul (deux fois plus souvent à gauche qu'à droite) latérales ou encore occipito-marginal atteint sinus
d'intérêt primaire.Le moyen le plus précis pour une forte, illustration détaillée et complète de la route qui ces inversions de flux veineux peut prendre est classique phlébographie sélective.
Quant à l'élucidation des processus CCSVI touchant le
cerveau, jugularography rétrograde expiratoire (4) semble être l'outil
le plus révélateur.Dans la tentative de traçage CCSVI processus affectant la moelle épinière, classiques phlébographie sélective ne doit pas être limitée à la veine azygos. Surtout dans les lésions CCSVI présumés de la partie inférieure de la moelle épinière, les connexions des veines lombaires à la fois la veine cave inférieure et les plexus veineux épidural du canal rachidien doivent être étudiées.
Prévention des dommages résultant de CCSVI
Si le développement des lésions apparaissant
caractérisé et émergents dans les voies vient d'être décrit peut être
démontré d'être associé à la prédisposition individuelle à l'massive,
intensive ainsi que les inversions de débit de grande envergure dans
définitive des voies veineuses du cerveau et la moelle épinière, de tels événements doivent être empêché par des moyens appropriés physique. Cela semble d'autant plus urgente que la répétition
des inversions de flux dans un système de drainage veineux tend à durcir ses murs et à dilater les canaux vasculaires sont impliqués. De cette façon, le processus de CCSVI tend à devenir de plus en plus dangereusement intensifiée.Dans les cas graves, que bien planifié des
interventions chirurgicales on peut s'attendre à arrêter de manière
fiable, voire d'empêcher, sinon sans relâche progresse incapacitations neurologiques et mentaux dus à CCSVI.
Des suggestions concrètes thérapeutiques Pour l'instant le traitement de CCSVI a été fondé sur des sténoses dilater la veine jugulaire et azygos interne, en utilisant l'angioplastie par ballonnet. Pour contrer le risque de resténose élevé, compte tenu principalement dans la veine jugulaire interne en raison de son effondrement en position assise et debout, l'angioplastie par ballonnet a souvent été complétée par une implantation de stents. Cette dernière procédure, cependant, a été discréditée par la rareté de migration de l'endoprothèse. On ne peut pas éliminer complètement le risque de resténose, tenu d'apporter dans son sillage de nouveaux épisodes de incapacitations nerveux et mentaux imputables à CCSVI.
Pour plus fiable prévenir les récidives d'CCSVI
imputable au reflux dans ou via les veines jugulaires internes, la
chirurgie ouverte, les greffes de soupape même, semble opportun.
En particulier dans l'incompétence valvulaire d'un
roulement droit veine jugulaire interne, plus ou moins exclusivement, lepoids des inversions de flux veineux dans la veine cave supérieure, lesgreffes de soupape peut se révéler le moyen de choix pour la prévention des complications cérébrales de CCSVI.
Ce qui pourrait donner pas moins une protection efficace contre les inversions de flux veineux repoussant via sinus droit dans ses veines riches est la perforation du septum mince dural ou combler un fossé entre droite et supérieure du sinus sagittal empêcher l'égalisation des gradients de pression plus élevée entre les deux sinus » veines riches. En raison de la complexité accrue des systèmes veineux être impliqué dans le développement des lésions CCSV de la moelle épinière, de corriger les conditions sous-jacentes veineuse est inévitablement plus de temps et difficile.
Conclusion
Bien planifié et exécuté avec soin, les interventions
chirurgicales destinées à corriger les inversions de flux dans la veine
jugulaire interne, azygos, ainsi que des veines lombaires on peut
s'attendre, sans aucun risque particulier, à mettre un terme à des
épisodes répétés de progression cérébrale et plus continue de
incapacitations épinière résultant de reflux veino-veineux dans l'espace craniovertebral. Les procédures ont donc été déclaré pour répondre aux critères juridiques, moraux et scientifiques spécifiées par les organisations concernées, y compris l'Organisation mondiale de la Santé. Le fait que les patients souffrant de CCSVI ont
tendance à être classées, du point de vue de la neurologie, que des cas de sclérose en plaques (MS), ne devrait pas surprendre compte tenu de ce qui suit:(1) En ce qui concerne les mécanismes pathologiques sont indiqués ci-dessus, CCSVI doit s'attendre à ce que généralement se conformer à des critères cliniques qui sous-tendent le diagnostic du MS.(2) Le liquide céphalo-rachidien bandes oligoclonales considéré comme le résultat de laboratoire les plus importants de soutien au diagnostic clinique de la SEP sont également observées dans les affections traumatiques et vasculaires du cerveau et la moelle épinière (5). A ce titre nous sommes également tenus de s'attendre à un développement de la bande oligclonal dans les affections spinales et cérébrales causées par CCSVI.(3) Tant au post mortem et à l'IRM, les résultats qui
reflètent sans aucun doute - non seulement en ce qui concerne leur
localisation, mais aussi dans leur forme ainsi que la manière et schéma de propagation - le type de lésions qui doit être prévu dans CCSVI, ont toujours été présenté comme typique, même des images lésion spécifique de la SEP (6, 7, 8, 9, 10, 11, 12). "donc ccsvi'''
En principe, le terme insuffisance chronique veineuse
céphalo-rachidien (CCSVI) simplement des points à la présence de
passages critique réduit dans les veines jugulaires internes et la veine
azygos, les principales voies de drainage veineux du crâne et des
vertèbres. Effetimmédiat de toute entrave à ces drainage veineux est un barrage du sang veineux dans la périphérie, engorgées navires affluent et les inondations veines collatérales. Cette congestion veineuse peut être aggravée par un ralentissement de la
circulation sanguine, dénommé stase: manque de nutriments et gorgés de produits de déchets métaboliques, les liquides veineuse respire périphérie et même de minuscules taches de sang.
Moins conséquences évidentes du CCSVI
Un barrage du sang dans les veines jugulaires et
azygos peut encore aussi prédisposer à un type d'événements délétères d'un autre: empêchés de s'échapper vers le cœur assez rapide, le contenu des veines gorgées »peut être repoussés en direction du cerveau ou canal rachidien au cours de toute forme de compression de la veine jugulaire et azygos.
Ces événements semblent plutôt les dangereux:
(1) Les volumes de sang sont plus à se déplacer en
direction de la périphérie veineuse;
(2) la hausse de la pression veineuse locale;
(3) Le sang est plus repoussé (A) du cou de veines dans une certaine partie du cerveau, ou (B) Les volumes plus véhément plus de celui-ci sont chassés de l'abdomen en particulier du canal rachidien lombaire;
(4) Le plus les veines concernées sont déjà remplis;
(5) Le plus, avec droite ou à gauche la veine jugulaire interne, un système de drainage distinctes cérébrale, ou encore le système de drainage de la colonne vertébrale les veines lombaires avec ou sans veine azygos est exclusivement être impliqués;
(6) Le plus strictement limité le système cérébral impliqué drainage veineux périphériques du territoire, et
(7) Le plus facilement les murs et les environs de
veines du cerveau et du canal rachidien momentanément céder à une
colonne de sang de régurgitation.
Comme pour le facteur (1) non seulement momentanée ou
durable obstacles du débit veineux ordinaire de veines jugulaires
internes et azygos entrent en jeu. Parfois, l'élargissement considérable de pièces, en particulier inférieure de veines jugulaires internes peuvent également modifier défavorablement le cours des événements. En ce qui concerne facteur (2), mais nous pouvons
noter ce qui suit:Au cours de pressions effort musculaire atteindre des hauteurs de 500 mm Hg sont connus pour avoir une incidence sur les veines du tronc - une valeur qui peut être largement dépassé dans tous les types d'accidents. Le point, cependant, dans quelle mesure jugulaire ou sous-occipitale de la pression veineuse peut augmenter lors des déplacements ou des efforts, et, en particulier, les effets externes sur le col ne semble jamais avoir été étudié en.
Pas beaucoup plus peut-on dire, compte tenu du facteur (3): (A) Le laps de temps disponible pour le reflux veineux.dans le crâne - en fonction de l'équilibre en cours de, d'une part, différentes pressions veineuses et les pressions associées sans veineuse et artérielle non seulement dans le cerveau, mais tout l'espace cranio-vertébrale est de une importance cruciale pour la profondeur à laquelle inversions du flux veineux peut pénétrer dans un territoire distinct veineuse du cerveau.(B) En ce qui concerne la durée du reflux veineux dans la colonne vertébrale, il existe des preuves anecdotiques seulement à partir des observations de la radioscopie des déplacements massifs des voies respiratoires du liquide céphalo-rachidien de la baisse dans les parties supérieures de l'espace cranio-vertébrale dans les périodes de temps très court.
Concernant le point (4) nous devons être conscients du fait que un engorgement important de veines jugulaires internes ne en
aucun cas se produisent uniquement avec durables obstructions
organiques. Le positionnement extrêmement variable, la rotation des extrêmes, flexion ou en extension, de la tête contre la poitrine est connu depuis longtemps pour être en mesure d'endiguer les veines jugulaires ainsi. Dans les obstructions de l'extrémité supérieure des
veines jugulaires internes, il faut garder à l'esprit que de grandes
quantités de sang peuvent être repoussés en direction du cerveau,
également de veines collatérales massivement engorgé, c'est à dire en particulier de la veine sous-occipitale plexus, via postérieure ou
latéral veines condyliennes. Remarquablement peu soucieux point soulevé (5) (a), à savoir le fait que le sang est refoulé à partir de (ou via) soit à droite ou à gauche la veine jugulaire interne peut sélectivement charge soit la corticale ou le drainage veineux intérieur du cerveau. Ceci malgré le fait que les variations anatomiques de la confluence des sinus de prédisposition à l'insuffisance ou de manque de mise à niveau des gradients de pression entre intérieur et extérieur du système de drainage veineux cérébral ont souvent été décrit déjà dans le 19e siècle de notre ère. Avec complètement divisée
sinus droit, il est même possible que seule la gauche ou la droite
intérieure veines cérébrales peut être surchargé par des inversions de
flux dans la veine jugulaire du même côté. (B) les gradients de pression énorme peut être brièvement construit entre les nervures dans le tronc, en particulier dans l'abdomen, et les veines épidurales de l'extrémité inférieure du canal rachidien. Voici les obstructions de la veine azygos peut prédisposer à des changements plu massive veineux des veines lombaires extérieure dans les veines de l'espace épidural du canal lombaire. Un tel reflux veineux peut évidemment être la plus violente, la plus externe, et les veines moins interne du canal rachidien sont remplis, l'ensemble de leurs connexions entre l'ancienne et les veines ne sont, et le plus faible contre une contre-pression à la hausse des déplacements épinière liquide sous-arachnoïdien est exercée dans le crâne et la partie supérieure du canal rachidien. Ce qui semble d'une importance décisive est un facteur (6): La rigueur de la limitation du territoire périphérique du système cérébral impliqué drainage veineux est. Si inversions de flux veineux dans la veine jugulaire interne ont tendance à surcharger exclusivement ou principalement, soit supérieure du sinus sagittal ou sinus droit, les veines de ceux-ci étant beaucoup plus à risque: Individuel veines affluent du sinus droit ont tendance à être directement et de manière sélective en fonction de fardeau momentanée résistance à la pression de leur périphérie vasculaires alors que les orifices souvent réduite des veines corticales, en pointant vers la fin du sinus sagittal supérieur »antérieure souvent aveugles, ont tendance à être chargés dans son ensemble; à part cela, les veines corticales sont plutôt reliés entre eux sous la forme d'un maillage, dont les principales chaînes de télévision ont souvent accès à des veines extracrâniennes à la base du crâne ne sont pas accablés par le reflux veineux.
L'invasion directe du sinus droit «riches veines
souligne l'importance du facteur (7): Les pressions exercées le long de chaque transmurale veineuse riches ne dépendent pas seulement de la configuration et le mode de distribution de chacune d'elles, elles sont également fortement modifié par contre veineux et artériels pressions exercées sur la partie corticale des navires envahissent la périphérie locale veineuse - la perfusion de cette dernière étant sans cesse modifiées en fonction de l'activation des entités fonctionnelles du cerveau. La baisse de la pression tissulaire locale momentanée, les murs et les environs plutôt d'une branche de la veine galénique sera incapable de résister à l'impact d'une colonne de sang de régurgitation. vidant ainsi la pression baisse de perfusion
cérébrale, d'inspiration, la position ou le mouvement de charge, même très éloignés cérébrale ou spinale péridurale veines peuvent
considérablement accroître le risque de reflux veineux, à des degrés
préjudiciables du reflux veineux.
Cerveau et la moelle épinière des dommages-intérêts doit être effectué en CCSVI
Une surabondance de canaux collatéraux veineux assure
habituellement que même oblitération complète des deux veines jugulaires internes ne, de et par lui-même, ne causera aucun dommage durable.
Dans un contraste saisissant avec la présente, les obstructions des sinus sagittal supérieur (1) ou sinus droit (2) se traduisent généralement par de l'œdème dans les piscines, parsemée hémorragies, le marquage sur les domaines touchés par les tissus de stase. Dans ce dernier cas, histopathologique, démyélinisation potentiellement réversible prévaut.
En ce qui concerne CCSVI, aucune enquête systématique
sur la façon dont elle affecte le cerveau et la moelle épinière a
encore été réalisée. obstructions veineuses observées dans CCSVI encore semblent guère capables de produire des périphériques stase circulatoire. Dans cet esprit, les affections nerveuses observée
chez les patients avec CCSVI ne montrent pas les tableaux cliniques
sévères observés précédemment dans l'obstruction veineuse col de
l'utérus d'une autre cause. L'observation la plus frappante dans les cas graves faits de CCSVI était en fait celle-ci:
Expiration forcée seul ne suffit pas pour inverser le
sens de circulation dans l'intérieur des veines cérébrales concernant
le sinus droit «territoire (vasculaires 3). Les lésions apparaissent
dans les modes de distribution comparable pourrait donc s'attendre à
témoigner des activités comparables veineuse.
Dans certaines circonstances, n'importe quel type de compression musculaire ou à l'extérieur des veines extracrâniennes sont engorgés en raison des obstructions dans les veines jugulaires internes on peut s'attendre à des morts-terrains de préférence dans les veines du sinus droit «petit, strictement limités domaine veineuse: Ce en particulier avec un sinus droit étant directement, juste essentiellement, voire exclusivement, liée à une veine obstruée jugulaire interne. Plus généralement, toutefois, les navires affluent le sinus droit sont à un plus grand risque tout simplement en raison de leur ramification le long et au large de la membrane dans les tissus pulpeuse en bordure des volumes considérables de, parfois, le liquide céphalo-rachidien céder plus facilement là où ils sont, mais confrontés à un Dernière
descendante de tout pulsations artérielles concurrents.
Considérant tout cela, il semble évident que CCSVI-lésions ne peuvent pas, mais apparaissent d'abord sur de grandes veines sous-épendymaires à côté de la propagation le long de leurs veines les plus accessibles riches. Plus loin, le quartier des coudes et des ramifications vasculaires pourraient être les plus exposés. De cette façon, compact, cônes lésion bien délimitée et les vagues peuvent être attendus de surfaces intérieures dans la substance des hémisphères cérébraux, le mensonge en ligne avec tard émergents plaques périphériques. Dans l'ensemble, ce type de propagation lésion CCSVI doit simplement marquer où le sang est refoulé vers les sinus droit «territoire vasculaire fardeau trop lourd murs des veines en cause» et la périphérie. tissus concernés serait donc de temps en temps la proie de commotions passagères ou contusions contondant supérieure du contenu de leurs veines. Cliniquement,les affections correspondantes pourraient se manifester, mais pour les
secondes (commotion cérébrale à la désorganisation intracellulaire
légère) ou durer jusqu'à mois (démyélinisation traumatique). Incapacitations produites par des contusions graves, aboutissant à la destruction tissu neuronal ou complète, cependant, ont une durée de vie.Gainé dans un sac dural difficile d'être entouré par
un maillage de veines largement interconnectés, la moelle épinière ne peut guère être envahie par une propagation de l'excès de pression veineuse dans ses veines. Le sang veineux étant refoulés dans en particulier le canal inférieur épinière peut encore momentanément déplacer le manteau de liquide céphalo-rachidien enrobage du cordon, ce qui imposition surfaces à la fois de la moelle épinière et encore plus de points et de lignes d'insertion des ligaments par laquelle il est fixé à ses gaines .
En ce qui concerne le risque d'inversions de flux veineux atteindre des intensités préjudiciable, le cerveau et la colonne vertébrale peut en outre s'attendre à différer dans le texte suivant: L'impact d'un reflux veineux envahir le cerveau peut s'attendre à une augmentation du degré d'engorgement des voies impliquées veineuse "long
en particulier également leur cours intracrânienne. reflux veineux dans le canal rachidien, d'autre part, sera le plus véhément, plus copieusement les veines à l'extérieur et les pauvres plus ceux de l'intérieur du canal rachidien en sont venus à être remplis.
Diagnostics de CCSVI
Le processus de CCSVI ne dépend pas simplement du
degré de sténose affectant un ou deux jugulaire interne, respectivement,la veine azygos. La détermination des prédispositions individuelles à des inversions de flux
en définitive préjudiciable voies veineuses du cerveau et la moelle
épinière exige en conséquence de près d'une vérification de la présence d'extra à intracérébrale ou extra-au reflux veineux intrarachidien veino-, également un de ses retraçant individuellement différentes sources et cours .
Les conditions favorisant les grands volumes, des pressions plus élevées, et surtout une plus grande véhémence et une plus large portée des inversions de flux veineux assaillir le cerveau et la moelle épinière ainsi doit devenir évidente.
Un outil largement disponibles et, en conséquence, de
préférence employée pour tracer un événement, et certains conditions préalables à l', des inversions de flux dans les veines du cou est l'échographie Duplex. Idéal pour découvrir la fonction valvulaire et de la configuration (sténose, dilatation prestenotic) des veines jugulaires internes, scans Duplex se prête à une évaluation du risque de reflux veineux dans le long et plus haut les principales voies extracrânienne du cerveau. Transcrânienne
couleur Doppler, d'autre part, est inégalé dans sa capacité à retracer
directement inversions de flux veineux à l'intérieur du crâne. Son potentiel de discrimination des prédispositions au reflux veineux dans, d'une part, du sinus droit et, d'autre part, du sinus sagittal supérieur n'a pas été pleinement exploité jusqu'à présent.
Dans la tentative de déterminer si elle est effectivement reflux veineux qui représente incapacitations nerveux et mentaux qui, autrement, devait rester inexpliqué, IRM cérébrale ne peut se faire sans. Répétées à intervalles rapprochés, il permet même de contrôler la façon bizarre dont les lésions résultant de CCSVI sont liés à l'avance et de recul. En ce qui concerne la détection des lésions de la
moelle épinière attribuable à CCSVI, IRM de routine n'a malheureusement pas encore atteint la sensibilité et la spécificité nécessaire. MRV effectué conformément au protocole de Haacke sont de nature à rendre exactes et complètes reconstructions en trois
dimensions de l'anatomie veineuse cervicale et intracrânienne. Ce faisant, ils peuvent fournir la preuve de séparations plus ou moins complète entre le droit et côté gauche drainage veineux du col du cerveau. Voici la démonstration d'une continuation directe du sinus droit en un seul (deux fois plus souvent à gauche qu'à droite) latérales ou encore occipito-marginal atteint sinus
d'intérêt primaire.Le moyen le plus précis pour une forte, illustration détaillée et complète de la route qui ces inversions de flux veineux peut prendre est classique phlébographie sélective.
Quant à l'élucidation des processus CCSVI touchant le
cerveau, jugularography rétrograde expiratoire (4) semble être l'outil
le plus révélateur.Dans la tentative de traçage CCSVI processus affectant la moelle épinière, classiques phlébographie sélective ne doit pas être limitée à la veine azygos. Surtout dans les lésions CCSVI présumés de la partie inférieure de la moelle épinière, les connexions des veines lombaires à la fois la veine cave inférieure et les plexus veineux épidural du canal rachidien doivent être étudiées.
Prévention des dommages résultant de CCSVI
Si le développement des lésions apparaissant
caractérisé et émergents dans les voies vient d'être décrit peut être
démontré d'être associé à la prédisposition individuelle à l'massive,
intensive ainsi que les inversions de débit de grande envergure dans
définitive des voies veineuses du cerveau et la moelle épinière, de tels événements doivent être empêché par des moyens appropriés physique. Cela semble d'autant plus urgente que la répétition
des inversions de flux dans un système de drainage veineux tend à durcir ses murs et à dilater les canaux vasculaires sont impliqués. De cette façon, le processus de CCSVI tend à devenir de plus en plus dangereusement intensifiée.Dans les cas graves, que bien planifié des
interventions chirurgicales on peut s'attendre à arrêter de manière
fiable, voire d'empêcher, sinon sans relâche progresse incapacitations neurologiques et mentaux dus à CCSVI.
Des suggestions concrètes thérapeutiques Pour l'instant le traitement de CCSVI a été fondé sur des sténoses dilater la veine jugulaire et azygos interne, en utilisant l'angioplastie par ballonnet. Pour contrer le risque de resténose élevé, compte tenu principalement dans la veine jugulaire interne en raison de son effondrement en position assise et debout, l'angioplastie par ballonnet a souvent été complétée par une implantation de stents. Cette dernière procédure, cependant, a été discréditée par la rareté de migration de l'endoprothèse. On ne peut pas éliminer complètement le risque de resténose, tenu d'apporter dans son sillage de nouveaux épisodes de incapacitations nerveux et mentaux imputables à CCSVI.
Pour plus fiable prévenir les récidives d'CCSVI
imputable au reflux dans ou via les veines jugulaires internes, la
chirurgie ouverte, les greffes de soupape même, semble opportun.
En particulier dans l'incompétence valvulaire d'un
roulement droit veine jugulaire interne, plus ou moins exclusivement, lepoids des inversions de flux veineux dans la veine cave supérieure, lesgreffes de soupape peut se révéler le moyen de choix pour la prévention des complications cérébrales de CCSVI.
Ce qui pourrait donner pas moins une protection efficace contre les inversions de flux veineux repoussant via sinus droit dans ses veines riches est la perforation du septum mince dural ou combler un fossé entre droite et supérieure du sinus sagittal empêcher l'égalisation des gradients de pression plus élevée entre les deux sinus » veines riches. En raison de la complexité accrue des systèmes veineux être impliqué dans le développement des lésions CCSV de la moelle épinière, de corriger les conditions sous-jacentes veineuse est inévitablement plus de temps et difficile.
Conclusion
Bien planifié et exécuté avec soin, les interventions
chirurgicales destinées à corriger les inversions de flux dans la veine
jugulaire interne, azygos, ainsi que des veines lombaires on peut
s'attendre, sans aucun risque particulier, à mettre un terme à des
épisodes répétés de progression cérébrale et plus continue de
incapacitations épinière résultant de reflux veino-veineux dans l'espace craniovertebral. Les procédures ont donc été déclaré pour répondre aux critères juridiques, moraux et scientifiques spécifiées par les organisations concernées, y compris l'Organisation mondiale de la Santé. Le fait que les patients souffrant de CCSVI ont
tendance à être classées, du point de vue de la neurologie, que des cas de sclérose en plaques (MS), ne devrait pas surprendre compte tenu de ce qui suit:(1) En ce qui concerne les mécanismes pathologiques sont indiqués ci-dessus, CCSVI doit s'attendre à ce que généralement se conformer à des critères cliniques qui sous-tendent le diagnostic du MS.(2) Le liquide céphalo-rachidien bandes oligoclonales considéré comme le résultat de laboratoire les plus importants de soutien au diagnostic clinique de la SEP sont également observées dans les affections traumatiques et vasculaires du cerveau et la moelle épinière (5). A ce titre nous sommes également tenus de s'attendre à un développement de la bande oligclonal dans les affections spinales et cérébrales causées par CCSVI.(3) Tant au post mortem et à l'IRM, les résultats qui
reflètent sans aucun doute - non seulement en ce qui concerne leur
localisation, mais aussi dans leur forme ainsi que la manière et schéma de propagation - le type de lésions qui doit être prévu dans CCSVI, ont toujours été présenté comme typique, même des images lésion spécifique de la SEP (6, 7, 8, 9, 10, 11, 12). "donc ccsvi'''
Dernière édition par dane83 le Sam 10 Juil 2010 - 3:00, édité 2 fois
dane83- Messages : 1741
Date d'inscription : 02/05/2010
Age : 67
Localisation : la crau
- Message n°124
bin dis donc jé
tu as eu un cours??
j irais lire tout a lheure.....
et au final !!!!!!!!!!!!!!!!il t opere ou pas????
j irais lire tout a lheure.....
et au final !!!!!!!!!!!!!!!!il t opere ou pas????
dane83- Messages : 1741
Date d'inscription : 02/05/2010
Age : 67
Localisation : la crau
- Message n°125
Re: Les unijugularistes (non ce n'est pas une blague)
je ne comprends pas grand chose...tout d abord il explique ce qu est un ccsvi....les jugulaires les azigos ...il explique tout (meme les vertebrales)puisque tu coresponds avec la dr G je pense que tu lui a envoye cette belle description de la ccsvi..cet article est trop long!et rasant d ailleurs!!je crois que je suis la seule a avoir tout lu ...c est joma qui reclamait !!je ne comprends pas bien ..qu a tu demande au dr ?as t il demande de te voir?c est confus!!